Balance Découvrir Nièvre , ,

Balance de Bazolles un beau patrimoine

Balance de Bazolles – Pesée de Bazolles – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

La balance de Bazolles est située sur la place de l’église. Cette balance permettait la pesée de chariot, d’animaux de véhicule. Son mécanisme est protégé par un capot de métal. Son plateau est bordé de grille en métal, il est de plan rectangulaire.

Les balances dans nos villages nivernais

Les balances existent depuis l’antiquité. La balance nécessitait l’utilisation de poids et permet de réglementer le pesage qui est effectué avec le plus grand soin. Des fonctionnaires vérifiaient la justesse de la pesée des négociants et des commerçants, à l’aide d’étalons de mesure. Les premiers étalons sont fabriqués en cuivre ou en bronze, ils ont été réalisés en Asie et en Égypte bien avant l’invention de la monnaie, permettant le troc et les échanges. Les balances ne sont devenues de véritables instruments de précision qu’au XIXe siècle.

La balance est un instrument de mesure basé sur les lois de la mécanique, elle fonctionne en réalisant l’équilibre entre deux forces qui peuvent être de natures différentes, mais dont au moins l’une est un poids. Il existe deux types de balances : les balances à levier avec lequel on obtient l’équilibre entre les masses (les balances à deux plateaux, les balances romaines), et les balances constituées d’un levier avec lequel on obtient l’équilibre entre les forces, par rapport au point d’appui (les dynamomètres).

La balance est installée à l’origine « au cœur du village, sur la place où se tient le marché ». La plupart des bascules (balances) sont installées au début du XXe siècle. Elles deviennent des bascules publiques autour desquelles se crée un lieu d’échange, de convivialité, de rencontre. Le pesage des produits ou des animaux est confié par les exploitants agricoles ou les particuliers au régisseur de pesage.

Désormais, les balances sont principalement situées dans les exploitations, les abattoirs, les stabulations.

Bonne découverte de la Balance de Bazolles GPS 47.14308, 3.61787

Bazolles est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Un clic pour découvrir l’église de Bazolles.

Bonne découverte du Monument aux morts de la commune de Bazolles

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Fontaines Lavoirs Nièvre Source ,

Le grand lavoir de Bazolles un beau patrimoine

Le grand lavoir de Bazolles – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

Le grand lavoir de Bazolles est situé au nord de la commune, c’est l’un des deux lavoirs de la commune. L’autre lavoir est situé au sud de la commune le long de la départementale 256. Le grand lavoir est de plein air, il est entouré de margelles, sa source est protégée par un ouvrage en pierre qui semble être plus ancien que le bassin, l’eau après avoir traversé le lavoir rejoint l’Alnain.

Les lavoirs constituent une part importante du petit patrimoine bâti de la Nièvre.

Le Parlement vote une loi le 3 février 1851 qui accorde un crédit spécial, pour subventionner à hauteur de 30 %, la construction des lavoirs couverts et, prévoit que « c’est au lavoir commun que la laveuse trouvera une distribution commode d’eau chaude et d’eau froide, des appareils de séchage qui lui permettent une économie de temps, et qui lui évitent d’effectuer le blanchissage dans l’habitation ».

Le rôle social du lavoir était primordial. C’est là que les femmes se retrouvaient, chacune ayant une place précise, sous l’autorité de la doyenne. On riait, on papotait.

Les femmes qui ne pouvaient pas faire garder leurs enfants en bas âge venaient avec eux au lavoir.

Il était autrefois un lieu de rencontre animé où se retrouvaient régulièrement les habitantes.

Les conditions de travail y étaient fort pénibles, les intempéries, les mains des femmes, plongées dans l’eau fraîche et parfois, glacée l’hiver, en ressortaient souvent meurtries, gercées et crevassées. Elles faisaient une grande consommation de pommade pour pouvoir continuer leur dur labeur. Le lavoir était réputé autrefois, pour être un lieu de médisance, mais il permettait de rompre l’isolement des femmes, la solidarité des dames était bien présente, ne serait-ce que pour tordre le linge à deux en sens inverse.

Le lavoir représente tout un pan de notre mémoire populaire. C’est à ce titre qu’il doit être respecté,

Il fallait souvent faire plusieurs voyages dans la journée, parfois sur plusieurs kilomètres pour aller au lavoir du pays, pour pouvoir porter les corbeilles de linge sale, le coffre, le battoir, parfois la planche à laver, et naturellement le savon et la brosse. La brouette (la beurouette en patois morvandiau) qui n’était pas d’une grande capacité.

– Le coffre, le Cabasson, ou boîte à laver, souvent aussi le carrosse (ou parfois, caisse). Renforcé avec des chiffons ou de la paille, et calé au bord de la pierre à laver, il permettait à la lavandière de se mettre à genoux avec un minimum de confort.

– Le battoir à linge : le tapoir, en patois morvandiau le tapoué. La lavandière mettait le linge en boule et « tapait » dessus avec énergie : elles tapoueillaient!

– La planche à laver : on l’utilisait pour laver à la rivière ou à la fontaine : elle remplaçait la margelle à laver du lavoir.

– Le chevalet était fabriqué en bois, il permettait de suspendre provisoirement le linge et de le faire égoutter, lorsqu’il n’y avait pas d’étendoir au lavoir. 

– Le savon sert à décoller la crasse, à détacher le linge sale, le gros savon, conditionné en forme de gros cube. On pouvait utiliser la saponaire, appelée aussi herbe à foulon (dans certaines régions, les foulons piétinaient foulaient au pied – la laine dans des bassins), dont les racines ont particularité de faire de la mousse. On l’utilisait en décoction froide. La saponaire est une plante à fleurs violacées qui pousse au printemps au bord de l’eau.

– La brosse : la fameuse brosse à chiendent, aucune tâche ne doit lui résister.

Certains lavoirs étaient équipés de cheminées pour produire la cendre nécessaire au blanchiment du linge.

Généralement le lavoir est un espace public, un lieu de vie réservé aux femmes comme le café du village l’est aux hommes. C’est au XVIIIe siècle que l’on construit la première génération de lavoirs dont l’architecture va s’améliorer avec la loi de 1851 sur l’hygiène. Il est souvent couvert et fermé pour protéger les lavandières des intempéries. Situé naturellement à proximité d’une source en eau, il est généralement composé de plusieurs bassins, la fontaine, puis le rinçoir (où on dégage le linge des restes de saleté et de savon), le lavoir, a bien souvent un abreuvoir en aval destiné aux animaux. Le lavoir est souvent couvert de petites tuiles plates en terre cuite, son bassin est rectangulaire, ses margelles sont en pierre de taille.

Bonne découverte du Grand lavoir de Bazolles GPS 47.13983, 3.61746

Bazolles est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Un clic pour découvrir l’église de Bazolles.

Bonne découverte du Monument aux morts de la commune de Bazolles

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

  • Le grand lavoir de Bazolles
  • Le grand lavoir de Bazolles
  • Le grand lavoir de Bazolles
  • Le grand lavoir de Bazolles
  • Le grand lavoir de Bazolles
  • Le grand lavoir de Bazolles
  • Le grand lavoir de Bazolles
  • Le grand lavoir de Bazolles
  • Le grand lavoir de Bazolles
  • Le grand lavoir de Bazolles
Commémoratif Généalogie Monuments aux morts Nièvre Résistant Stéle ,

Monument aux morts de Bazolles un hommage

Monument aux morts de Bazolles – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

Le monument aux morts de Bazolles est un pilier commémoratif représenté par un obélisque posé sur un socle. Il est situé sur la grande place de l’église le long de la départementale 958. Sur le monument il est inscrit: »BAZOLLES À SES ENFANTS MORTS POUR LA FRANCE 1914-1918 1939-1940″. La liste des morts: 1914-1918

BONAMY Philippe BOUTTIER Maurice BILLARDON François CHAPELAIN Charles CHARTIER Maurice CLAIR Auguste COLLOT Jean CREPILLON Léonard DANTEL Louis DESBRUERES Armand DESBRUERES Charles DESSIAUX Louis FREBAULTL Marie FREBAULT Baptiste GAUTHIER Gabriel GOUSSOT Louis LARUE Ernest LEPERE Pierre MARAULT Philibert MARECHAL Pierre MARQUEREAU Émile MARTIN Louis MICHEL Théophile NOMEUX Maurice
NOLIN Jean-Baptiste adjudant PAUPERT Paul PERRIN Louis Élie PETIT Jules POIRIER Eugène REY Fernand ROUSSEAU Jules SAVADOU Dominique SOUVERAIN Charles TAILLON Jean THEVENIN Charles TRAMEÇON Edmond TRAMEÇON Philippe

1939 – 1945

BELIN Louis PERRIN Maurice ROUSSEAU Maurice LÉVÊQUE Henri MOMEUX Marcel

Une plaque de marbre blanc sur laquelle il est gravé: « Le Maquis Daniel pour l’aide apportée en 1944 par la commune de Bazolles » est fixée sue le devant au pieds du monument.

Un monument aux morts est un monument érigé pour commémorer et honorer les soldats, et plus généralement les personnes, tuées ou disparues par faits de guerre. Il en existe de plusieurs types : les cénotaphes (monuments mortuaires n’abritant aucun corps), généralement dans le centre d’une ville ou d’un village, mais qui ont aussi été, après la Première Guerre mondiale, élevés dans les entreprises, les écoles, les foyers fréquentés par les disparus de leur vivant ; les mémoriaux, monuments nationaux élevés sur les champs de bataille (Douaumont) où les cimetières militaires abritent les tombes de soldats, parfois de centaines de milliers d’entre eux. La Première Guerre mondiale est un conflit militaire impliquant dans un premier temps les puissances européennes et s’étendant ensuite à plusieurs continents de 1914 à 1918 (bien qu’ayant diplomatiquement perduré jusqu’en 1923 pour les pays concernés par le traité de Lausanne, le dernier à avoir été signé, le 24 juillet 1923).

La récente loi no 2012-273 du 28 février 2012 fixe les règles en matière d’inscription de noms aux monuments aux Morts. « Lorsque la mention “Mort pour la France” a été portée sur son acte de décès. L’inscription du nom du défunt sur le monument aux Morts de sa commune de naissance ou de dernière domiciliation, ou sur une stèle placée dans l’environnement immédiat de ce monument est obligatoire.

La demande d’inscription est adressée au maire de la commune choisie par la famille ou, à défaut, par les autorités militaires, les élus nationaux, les élus locaux, l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre par l’intermédiaire de ses services départementaux ou les associations d’anciens combattants et patriotiques ayant intérêt à agir. »

Au lendemain de la guerre, plus de 30 000 monuments aux Morts sont érigés sur tout le territoire, la majorité entre 1920 et 1925. Toutes les familles sont touchées, une génération entière d’hommes est perdue. Pour la première fois de son histoire, le pays a mobilisé 7 900 000 soldats, 5 000 000 ont participé directement aux combats. Les conséquences sont désastreuses. Le 11 novembre 1918, on compte 1 375 000 morts et plus de 3 000 000 blessés et mutilés.

Bonne découverte du Monument aux morts de Bazolles GPS 47.14304, 3.61783

Bazolles est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Un clic pour découvrir l’église de Bazolles

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

  • Monument aux morts de Bazolles
  • Monument aux morts de Bazolles
  • Monument aux morts de Bazolles
  • Monument aux morts de Bazolles
  • Monument aux morts de Bazolles
  • Monument aux morts de Bazolles
  • Monument aux morts de Bazolles
  • Monument aux morts de Bazolles
  • Monument aux morts de Bazolles
Lavoirs Nièvre ,

Lavoir de Meuré un patrimoine vernaculaire de Bazolles

Lavoir de Meuré – Patrimoine vernaculaire du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

Le lavoir de Meuré est situé dans le hameau du Grand Meuré, c’est un lavoir de plein air, placé en bordure de la Départementale 256 (route du grand pré). Le lavoir est clos par un petit mur en pierre, sa source est protéger par un ouvrage en pierre. Une petite marre est à découvrir auprès du lavoir.

Les lavoirs constituent une part importante du petit patrimoine bâti de la Nièvre.

Le Parlement vote une loi le 3 février 1851 qui accorde un crédit spécial, pour subventionner à hauteur de 30 %, la construction des lavoirs couverts et, prévoit que « c’est au lavoir commun que la laveuse trouvera une distribution commode d’eau chaude et d’eau froide, des appareils de séchage qui lui permettent une économie de temps, et qui lui évitent d’effectuer le blanchissage dans l’habitation ».

Le rôle social du lavoir était primordial. C’est là que les femmes se retrouvaient, chacune ayant une place précise, sous l’autorité de la doyenne. On riait, on papotait.

Les femmes qui ne pouvaient pas faire garder leurs enfants en bas âge venaient avec eux au lavoir.

Il était autrefois un lieu de rencontre animé où se retrouvaient régulièrement les habitantes.

Les conditions de travail y étaient fort pénibles, les intempéries, les mains des femmes, plongées dans l’eau fraîche et parfois, glacée l’hiver, en ressortaient souvent meurtries, gercées et crevassées. Elles faisaient une grande consommation de pommade pour pouvoir continuer leur dur labeur. Le lavoir était réputé autrefois, pour être un lieu de médisance, mais il permettait de rompre l’isolement des femmes, la solidarité des dames était bien présente, ne serait-ce que pour tordre le linge à deux en sens inverse.

Le lavoir représente tout un pan de notre mémoire populaire. C’est à ce titre qu’il doit être respecté,

Il fallait souvent faire plusieurs voyages dans la journée, parfois sur plusieurs kilomètres pour aller au lavoir du pays, pour pouvoir porter les corbeilles de linge sale, le coffre, le battoir, parfois la planche à laver, et naturellement le savon et la brosse. La brouette (la beurouette en patois morvandiau) qui n’était pas d’une grande capacité.

– Le coffre, le Cabasson, ou boîte à laver, souvent aussi le carrosse (ou parfois, caisse). Renforcé avec des chiffons ou de la paille, et calé au bord de la pierre à laver, il permettait à la lavandière de se mettre à genoux avec un minimum de confort.

– Le battoir à linge : le tapoir, en patois morvandiau le tapoué. La lavandière mettait le linge en boule et « tapait » dessus avec énergie : elles tapoueillaient!

– La planche à laver : on l’utilisait pour laver à la rivière ou à la fontaine : elle remplaçait la margelle à laver du lavoir.

– Le chevalet était fabriqué en bois, il permettait de suspendre provisoirement le linge et de le faire égoutter, lorsqu’il n’y avait pas d’étendoir au lavoir.

– Le savon sert à décoller la crasse, à détacher le linge sale, le gros savon, conditionné en forme de gros cube. On pouvait utiliser la saponaire, appelée aussi herbe à foulon (dans certaines régions, les foulons piétinaient foulaient au pied – la laine dans des bassins), dont les racines ont particularité de faire de la mousse. On l’utilisait en décoction froide. La saponaire est une plante à fleurs violacées qui pousse au printemps au bord de l’eau.

– La brosse : la fameuse brosse à chiendent, aucune tâche ne doit lui résister.

Certains lavoirs étaient équipés de cheminées pour produire la cendre nécessaire au blanchiment du linge.

Bazolles est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Découverte de l’église de Bazolles – Église Saint Symphorien.

Découverte de la rigole d’Aron une cheminée d’aération.

Bonne découverte du Lavoir de Meuré – Patrimoine vernaculaire de Bazolles GPS 47.14691, 3.63705

Lavoirs Nièvre Source

Lavoir de Bazolles un patrimoine vernaculaire

Lavoir de Bazolles – Patrimoine vernaculaire de Bazolles – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

Le lavoir de Bazolles est situé en sortie du village de Bazolles, au sud sur sur la Départementale 256, en direction des étangs de Vaux et de Baye et en bordure de route sur la gauche. Un lavoir de plein air, son bassin est de plan rectangulaire, sa source est protégée par un ouvrage en pierre en forme de niche.

Un endroit paisible. (les exploitants qui utilisent le lavoir de Bazolles pour y prélever de l’eau pourraient éviter de laisser leurs vilains tuyaux et crépines dans la source, par respect, car ils sont causes de pollution visuel et peut être plus ?. Un mignon petit lavoir, un bassin carré, une margelle de Béton l’entoure. Une petit mare se trouve un peu plus loin. Sa source est protégée par un ouvrage de pierre et de ciment. Un bel endroit ! .

Les épidémies, puis la recherche d’ hygiène entraînent le développement de constructions spécifiques le lavoir, à la fin du XVIIIe siècle, les communes se munissent de bassins situés au bas d’une prairie, en contrebas d’une source ou d’une fontaine, en bordure d’un ruisseau, d’un canal, d’une rivière ou d’un fleuve. le Parlement vote une loi le 3 février 1851 qui accorde un crédit spécial pour subventionner à hauteur de 30 % la construction des lavoirs couverts et prévoit que « c’est au lavoir commun que la laveuse trouvera une distribution commode d’eau chaude et d’eau froide, des appareils de séchage qui lui permettent une économie de temps, et qui lui évite d’effectuer le blanchissage dans l’habitation ».

Le village de Bazolles est situé dans le département de la Nièvre en région Bourgogne Franche comté.

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Découverte de l’église de Bazolles – Église Saint Symphorien.

Découverte de la rigole d’Aron une cheminée d’aération du canal du Nivernais.

Bonne découverte du Lavoir de Bazolles – Patrimoine vernaculaire de Bazolles GPS 47.14654, 3.61396

Eglise romane Églises Nièvre

Église de Bazolles – Saint Symphorien un beau patrimoine

Église de Bazolles – Église Saint Symphorien – Patrimoine religieux du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

Église de Bazolles est une église paroissiale, qui est placée sous le vocable de Saint Symphorien, elle est datée des XIe-XIIe-XVe siècles. L’Église de Bazolles est de plan basilical, son abside est semi circulaire.

Cette image a un attribut alt vide ; le nom du fichier est Plan-eglise-de-Bazolles-1000x526.jpg

L’église de Bazolles est construite dès le XIIe siècle, elle est remaniée au XVIe siècle.

La réfection de sa voûte et de sa couverture est effectuée en 1843, en 1855 réparation de l’ église.

Une sacristie est ajoutée en 1855, et la fausse voûte en lattis plâtré, édifiée en 1843, est remplacée en 1877 par une autre voûte, conçue d’après un projet de Charles Lutz, architecte du département.

La reconstruction de la voûte de la nef, de la charpente du chœur, de la toiture de la nef et chœur à lieu en 1877.

Plan église de Bazolles

Son abside est à pans coupés, est voûtée en cul de four. L’imposant clocher carré, date du XVIe siècle, il est situé au centre de l’édifice.

Percé sur ses quatre faces de baies doubles, sa toiture est pyramidale et couverte d’ardoises.

Le clocher est aussi flanqué d’une petite tourelle d’escalier, il est épaulé par des contreforts très saillants.

L’édifice est couvert de petites tuiles plates en terre cuite de la région.

Cette église aurait été « transférée » par Jean Ier de Fontette « pour la mettre plus à portée de son château », à son emplacement actuel, et bâtie avec des matériaux issus de l’ancienne église, pour le clocher et le portail ouest, de style roman, se qui explique la présence de fenêtres gothiques et de style romane.Cette image a un attribut alt vide ; le nom du fichier est eglise-de-Bazolles.jpg

De nombreux travaux ont été réalisés au cours des siècles : suppression du porche d’entrée, ajout de la sacristie, enduits de maçonnerie extérieurs, couverture, réfection de la nef, des vitraux.

Église de Bazolles est inscrite au Recensement des immeubles et Monuments Historiques le 6 novembre 1942. Fiche Mérimée : PA00112802.

Bazolles est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne Franche-Comté.

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Découverte du lavoir de la commune de Bazolles.

Découverte d’un des Ponts de la rigole d’Aron.

Bonne découverte de l’église de Bazolles – Église Saint Symphorien – Un diaporama sur  l’ Église du village de Bazolles.

  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion
  • Église de Bazolles Nièvre Passion