Église de Saint Péreuse – Patrimoine religieux du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté
L’Église de Saint Péreuse est placée sous le vocable de Saint Péreuse, elle est datée principalement du XIIe siècle. Elle est reconstruite au XIXe (1868) siècle en Style néo-roman par l’architecte Andoche Parthiot de Château-Chinon. L’Église est en pierre taille et moellons de granit. Elle possède deux chapelles latérales, dédiées une à la Sainte Vierge et l’autre à Saint Péreuse. Elle est de Plan en croix latine, avec la saillie de l’abside, qui, est terminée en cul-de-four. Son chœur, est voûté en berceau cintré, les baies et les fenêtres sont de style romanes, une porte au sud est obturée, son linteau possède une arcature tréflée datée du XIIIe siècle. Le clocher porche est carré, il est percé de baie double sur ses quatre faces, sa flèche octogonale est couverte d’ardoises.
Le cimetière entourait l’ancienne église. En 1864, elle fut démolie et reconstruite environ 30 mètres plus loin. Pendant la durée des travaux, la messe fut célébrée dans l’ancien presbytère.
La commune de Saint Péreuse aurait été fondée au Ve siècle par un moine, saint Pétrusii, venu répandre le christianisme. Le nom de Solières-Solis lucus nous informe que ce lieu était un bois consacré au soleil. Des mécontents, le voyant détruire leurs idoles et faire des conversions le mirent à mort. Sa dépouille fut alors ensevelie sur les lieux de son supplice et son tombeau devint bientôt un lieu de pèlerinage. On y éleva un oratoire qui devint bientôt une abbaye que Charles-le-Chauve donna à l’église de Nevers au IXe siècle et que Charles III le Gros confirma le 15 des calendes de janvier 888. Ce monastère devint par la suite, un chapitre de chanoines. On croit que la maison abbatiale se trouvait près de l’église, au sud.
Décor végétal propriété de la commune – Référence Mérimée : IA00002245.
Saint Péreuse est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Portail de l’église de Saint-Père – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté
Le portail de l’église de Saint-Père est remarquable, c’est un des plus beaux portails de l’époque gothique de la Nièvre. Saint-Père: « Autrefois Nuzy ou St-Père de Nuzy, nom conservé par un domaine agricole à l’est du village ».
Le portail est orné de nombreuses sculptures: des fleurons, des crochets, des pinacles, des pendentifs, des remplages, des sculptures de blasons, de têtes diverses. Ces sculptures sont réalisées en pierre de taille calcaire de la région. La sculpture se fait expressive.
L’ Église de Saint Père est placée sous le vocable de Saint Pierre du trépas, elle est de style Gothique flamboyant. L’église Saint-Pierre-du-Trépas est mentionnée au début du XIIIe siècle. L’édifice actuel, est daté du XVIe siècle.
L’Art gothique voit sa période du milieu du XIIe siècle jusqu’au milieu du XVIe siècle.
Église de Saint-Père vue de l’intérieur – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté
L’Église de Saint-Père vue de l’intérieur, longtemps fermée à la visite et au culte car son portail fortement érodé par le temps devenait dangereux, un pare-gravas était alors installé devant le portail, des chutes de pierres étant à craindre. Saint-Père: « Autrefois Nuzy ou St-Père de Nuzy, nom conservé par un domaine agricole à l’est du village ».
L’église est placée sous le vocable de Saint Pierre du trépas, elle est de style Gothique flamboyant, principalement datée des XVe-XVIe siècles. Elles est édifiée sur l’emplacement d’une plus ancienne datée du XIIe siècle. Cet édifice est construit entre 1517 et 1526.
L’église paroissiale est attestée dans le diocèse d’Auxerre au début du XIII siècle. Elle est classée aux monuments historiques en 1907.
L’église est bâtie en plan en croix, les deux chapelles forment la croisée, elles portent les traces de nombreuses tombes, d’où le surnom « du trépas » .
L’église paroissiale est attestée dans le diocèse d’Auxerre au début du XIII siècle. Le chœur est voûté sur membrures prismatiques, avec ses quatre fenêtres de style gothiques à remplages flamboyants, elles possèdent des morceaux de verrières issues de la chapelle Notre Dame de Galle de Cosne-sur-Loire.
L’église actuelle, d’une construction homogène, est de style Gothique flamboyant.
Il est supposé que la construction de cette église a été entreprise par Alexandre Stutt, écuyer, appartenant a une famille écossaise au service du roi de France, devenu seigneur de St Père par suite de son mariage en 1517 avec Jeanne d’ Assigny, dame du lieu, et qui, devenu veuf, s’est remarie en 1526 avec Anne Régnier, de la famille des seigneurs de Guerchy.
Aux clefs de voûtes on remarque des écussons aux armes d’une famille non identifiée, puis de Stutt, puis parti Stutt et Régnier.
Enfin l’écusson de Claude Ancienville commandeur de Villemoison à partir de 1523.
La nef principale, composée de quatre travées, est flanquée au nord d’un collatéral de trois travées, le tout couvert de voûtes d’ogives.
Les bras du transept sont voûtés, ainsi que ses fenêtres avec vitraux datés du XVIe siècle. (Saint Éloi, Saint André, Sainte Marguerite, un saint Évêque et le Christ en croix). De nombreux éléments de décoration sont présents sur la façade (notamment les armoiries d’ Ancienville, commandeur de Villemoison, en 1523) ainsi qu’à l’intérieur de l’église.
Une première peinture murale avec les armoiries de la famille RAMEAU et une date 1781 laissent penser qu’il s’agit d’une litre peinte pour le décès du châtelain.
Deux chapelles de taille inégale tiennent lieu de transept, la plus vaste au sud est l’ancienne chapelle seigneuriale dotée d’une entrée particulière.
Le mobilier classé Monument Historique qui est conservé dans l’édifice : Une dalle funéraire, une plaque commémorative de la prise de possession de la cure par Jean Creuze, un retable : l’Adoration des bergers, une cloche, un tableau : l’Annonciation et 14 des verrières. Vitraux classés Id, vitraux de la baie 0 classés MH en 1903. La baie d’axe regroupe un certain nombre de panneaux très incomplets de provenances différentes parmi lesquelles la chapelle notre dame à Cosne. Des verrières sont exécutées en complément par les peintres verriers E.Crombackh, Guibouret et J.P Florence
L’église de Saint-Père – Église Saint-Pierre-du-trépas – Patrimoine religieux du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté
L’église de Saint-Père est placée sous le vocable de Saint Pierre du trépas, elle est de style Gothique flamboyant. Elle est datée des XVe-XVIe siècles, édifiée sur l’emplacement d’une église du XIIe siècle, elle est construite entre 1517 et 1526 environ.
Saint-Père: « Autrefois Nuzy ou St-Père de Nuzy, nom conservé par un domaine agricole à l’est du village ».
L’église paroissiale est attestée dans le diocèse d’Auxerre au début du XIII siècle. Elle est classée aux monuments historiques en 1907.
La première église romane (ecclesia de Nuisaco) fut construite au XIIIe siècle. Elle fut d’abord placée sous le vocable de Saint Pierre de Nuzy, puis Saint Pierre le Trépas.
L’église est bâtie en plan en croix, les deux chapelles forment la croisée, elles portent les traces de nombreuses tombes, d’où le surnom « du trépas » . L’ornementation de sa façade à l’ouest est remarquable, c’est un des plus beaux portails de l’époque gothique de la Nièvre, elle possède des fleurons, des crochets, des pinacles, des pendentifs, des remplages, des sculptures de blasons, de têtes diverses.
Son petit clocher est carré, percé d’évents sur trois faces, il est couvert d’ardoises ainsi que sa flèche.
1718 – Gaspard Ladvocat – Cloche en l’église Saint-Père de Nuzy, près Cosne, bénite en l’année 1718 par Jean Gramain, prêtre, curé du lieu… ef rétablie par les secours donnés aux habitants de la paroisse par les parrain et marraine : noble Louis Rameau, maître fauconnier au vol pour héron de la grande fauconnerie de France, et dame Marie Frappier, son épouse, seigneur et dame des fiefs de Saint-Père et Rozière, etc. A la fin de l’inscription on lit : Gaspard Ladvocat m’a faict. {Statistique monumentale de la Nièvre, 2 e partie, p. 141.)
Une tourelle d’escalier est appuyée sur son flanc nord, elle est en pierre de taille. La toiture de l’église est en petites tuiles plates. L’église de Saint Père est épaulée par de solides contreforts, il est percé de nombreuses baies de style gothique .
L’église paroissiale est attestée dans le diocèse d’Auxerre au début du XIII siècle. Le chœur est voûté sur membrures prismatiques, avec ses quatre fenêtres de style gothiques à remplages flamboyants, elles possèdent des morceaux de verrières issues de la chapelle Notre Dame de Galle de Cosne sur Loire.
L’église actuelle, d’une construction homogène, est de style Gothique flamboyant.
Il est supposé que la construction de cette église a été entreprise par Alexandre Stutt, écuyer, appartenant a une famille écossaise au service du roi de France, devenu seigneur de St Père par suite de son mariage en 1517 avec Jeanne d’ Assigny, dame du lieu, et qui, devenu veuf, s’est remarie en 1526 avec Anne Régnier, de la famille des seigneurs de Guerchy.
Aux clefs de voûtes on remarque des écussons aux armes d’une famille non identifiée, puis de Stutt, puis parti Stutt et Régnier.
Enfin l’écusson de Claude Ancienville commandeur de Villemoison à partir de 1523.
La nef principale, composée de quatre travées, est flanquée au nord d’un collatéral de trois travées, le tout couvert de voûtes d’ogives.
Les bras du transept sont voûtés, ainsi que ses fenêtres avec vitraux datés du XVIe siècle. (Saint Éloi, Saint André, Sainte Marguerite, un saint Évêque et le Christ en croix). De nombreux éléments de décoration sont présents sur la façade (notamment les armoiries d’ Ancienville, commandeur de Villemoison, en 1523) ainsi qu’à l’intérieur de l’église.
Une première peinture murale avec les armoiries de la famille RAMEAU et une date 1781 laissent penser qu’il s’agit d’une litre peinte pour le décès du châtelain.
Deux chapelles de taille inégale tiennent lieu de transept, la plus vaste au sud est l’ancienne chapelle seigneuriale dotée d’une entrée particulière.
Le mobilier classé Monument Historique qui est conservé dans l’édifice : Une dalle funéraire, une plaque commémorative de la prise de possession de la cure par Jean Creuze, un retable : l’Adoration des bergers, une cloche, un tableau : l’Annonciation et 14 des verrières. Vitraux classés Id, vitraux de la baie 0 classés MH en 1903. La baie d’axe regroupe un certain nombre de panneaux très incomplets de provenances différentes parmi lesquelles la chapelle notre dame à Cosne. Des verrières sont exécutées en complément par les peintres verriers E.Crombackh, Guibouret et J.P Florence
Église de Saint-Père – Église Notre-Dame – Patrimoine du département de l’Yonne, en région Bourgogne-Franche-Comté
L’Église de Saint-Père est placée sous le vocable de Notre-Dame de Saint-Père, c’est une église gothique située dans le village de Saint-Père, Construite du XIIIe (vers 1240) jusqu’au XVe siècle (vers 1455), elle est dédiée à la Vierge, devenue église paroissiale au XVIe siècle, remplaçant l’ancienne église Saint Pierre (on peut apercevoir les ruines à la sortie sud du village). Le clocher, du XIIIe siècle, est d’une hauteur de cinquante mètres avec sa flèche, la hauteur de la tour du clocher seule est de 33,4 mètres, aux angles de la tour, des anges sonnant de l’olifant. La longueur de l’église est de 38 mètres par 12 mètres. Le porche abrite un tombeau de femme daté de 1258.
Le long des collatéraux, les tombeaux des supposés fondateurs dont un des Gisants, mutilé, est encore en place. L’édifice est classé au titre des Monuments historiques en 1840. .
Le fronton est orné d’une statue de saint Jacques pèlerin. la façade, le clocher, la nef et les bas cotés, les chapelles et une partie du chœur datent du XIIIe siècle. Le narthex est daté du XIVe siècle. Les pinacles, les piliers du chœur et des chapelles et la tribune sont datés du XVe siècle.
Saint-Père anciennement dénommée Saint-Père-sous-Vézelay est une commune du département de l’Yonne, dans la région Bourgogne-Franche-Comté
Château d’eau de Saint Parize le Chatel – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne Franche Comté.
Le château d’eau de Saint Parize le Chatel est situé au Nord-ouest du centre du village, cote 240 à gauche au carrefour de la rue du château d’eau et du chemin de « Les Craies » chemin de l’ancien moulin à vent.
Son originalité est principalement sa toiture hexagonale en petites tuiles plates en terre cuite. L’ouvrage est édifié en plan circulaire, principalement en béton armé. Il possède une porte d’entrée et, plusieurs baies qui éclairent son escalier, elles sont situées sous son réservoir.
Les châteaux d’eaudu Nivernais
Un château d’eau est une construction destinée à stocker l’eau, pour en créer une réserve, il est généralement situé sur un point haut, pour permettre la distribution d’eau sous pression. Le stockage de l’eau dans un réservoir joue un rôle de tampon, entre le débit demandé par les abonnés, et le débit fourni par la station de pompage.
L’eau est alors acheminée du point d’eau (source) au réservoir. Si l’altitude du point d’eau est inférieure à l’altitude du réservoir, on va utiliser des pompes pour élever l’eau jusqu’à ce dernier. L’eau est ensuite envoyée dans un réseau gravitaire qui va assurer son acheminement vers l’ensemble des habitations.
Depuis les années 1980 se sont développées des implantations de réservoirs enterrés assortis de groupes de surpression.
Cette réserve permet également de faire face aux demandes en cas d’incendie. le château d’eau réapparaît au XIXe siècle.
L’arrivée de l’eau courante dans les communes de France a été réalisée grâce à une intense activité de construction des châteaux d’eau, pendant les années 1950, 1960 et 1970 en même temps que l’aménagement du territoire rural, symbolisant à l’époque l’accès au progrès.
Plusieurs monuments furent construits selon un plan octogonal, parmi lesquels la tour des Vents à Athènes, le château d’eau est le symbole de civilisations avancées sur le plan technique, et sur l’organisation. En 100 après J.-C., Rome compte déjà 19 aqueducs, 250 châteaux d’eau et 1 352 fontaines » pour permettre d’alimenter en eau potable les habitations, les fontaines, les bains et piscine.
Plusieurs phénomènes ont marqué la remise en cause des châteaux d’eau : l’amélioration des techniques de mise sous pression des réseaux de distribution de l’eau, la défiguration de l’environnement et des paysages, le coût de sa construction est élevé.
Les châteaux d’eaux servent aussi de point de repère, un moyen visuel de vol pour l’aviation, ils sont devenus aussi depuis quelques années d’excellents relais pour la téléphonie, la TV, la radio.
Bonne découverte du Château d’eau de Saint Parize le Chatel GPS 46.85851, 3.17766
Saint Parize le Châtel est une commune française, située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne Franche-Comté .
