Croix Nièvre ,

La croix du lavoir de Charlay un patrimoine

La croix du lavoir de Charlay un patrimoine – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne Franche-Comté.

La croix du lavoir de Charlay est située au carrefour des départementale 102 et 278. Elle est adossée au lavoir, comme beaucoup de croix elle est placée sur un lieu de passage et de rencontre. Une fine croix en fer forgé plantée dans une stèle octogonale en pierre calcaire.

L’octogone se situe entre le carré (la terre) et le cercle (le ciel), notons que les quatre coins du carré du ciel et ceux du carré de la terre forment un octogone, il constitue un lien entre le monde matériel et le monde spirituel. La figure de l’octogone matérialise le signe de la renaissance.

Les croix constituent une part importante du petit patrimoine de la Nièvre.

Les termes croix viennent du mot latin crux qui a le sens de « poteau ». Son usage en tant que symbole religieux remonte plusieurs siècles avant l’époque du Christ et a une valeur universelle. Le mot « calvaire » vient du latin calvarium, traduction de l’araméen Golgotha, voulant dire lieu où le Christ a été crucifié.

Une croix est généralement tournée vers l’ouest, car selon la tradition, le Christ est mort à l’ouest, face au soleil couchant. Depuis des millénaires, cette symbolique est aussi tourné vers le soleil couchant, attendant qu’il réapparaisse le lendemain.

Depuis le IVe siècle, la croix est imposée comme symbole du Christianisme. L’usage d’ériger des croix aux bords des chemins et aux carrefours des villes et villages est très ancien. C’est ainsi que nos ancêtres devenus chrétiens commencent à les ériger, en l’honneur du vrai Dieu Jésus Christ, Sauveur du Monde.

Les croix et les calvaires ont pris la place des ex voto païens. Avec le soutien des fidèles riches, les paroisses se lancent dans l’édification de calvaires. Ce sont des signes extérieurs de richesse à la gloire de Dieu. Un phénomène de concurrence et d’émulation entre bourgs et villages intervient.

Certains de ces monuments, construits au XIXe siècle, sont des souvenirs des missions, périodes marquées par des confessions massives, par de nombreux offices au cours desquels, interviennent les prédicateurs qui exhortaient les habitants du village à une plus grande foi.

Difficile de retracer l’histoire des calvaires, beaucoup d’entre eux sont des monuments commémoratifs. Ils sont à l’endroit où s’est produit un événement exceptionnel, un événement dont l’issue fut funeste ou heureuse.

 Les grandes épidémies comme la peste ont donné lieu à l’érection de croix pour remercier le ciel d’avoir épargné un village, une famille.

La Crucifixion est très fréquemment représentée dans les églises catholiques et orthodoxes par un ou plusieurs crucifix de tailles diverses. Il en est de même des calvaires, des maisons habitées par un croyant, des cimetières, etc. Dans les églises orthodoxes, la croix est à 6 ou 8 branches contre 4 à 6 chez les catholiques.

Un crucifix a pour l’essentiel la forme d’une croix latine, dont la barre verticale est allongée vers le bas et courte vers le haut, et pouvant porter dans cette partie supérieure le sigle INRI, acronyme de Jésus de Nazareth, Roi des Juifs.

Une statuette ou image de Jésus est fixée à la croix, montrant les clous dans ses mains et ses pieds et une blessure dans son côté gauche, en référence aux récits de la Passion. Un calvaire se définit par une croix complexe avec des statues de personnages nombreux.

Rien à voir avec les milliers de crucifix qui jalonnent nos routes à la croisée des chemins qui ne sont pas du tout des calvaires, mais simplement des croix avec ou sans le Christ et des croix de mission.

Une « croix d’évangélisation » qui perpétue la tradition judéo-chrétienne. L’annonce orale des douze Apôtres vers les quatre points cardinaux y est symbolisée par trois perles sur chaque bras de la croix ; la perle centrale représentant le Verbe en Marie dans l’Église Mère de Jérusalem avec les quatre petites perles des quatre textes de référence évangélique. À minima le calvaire est une croix avec Jésus crucifié.

Mot d’origine latine qui signifie : “crâne” correspondant à l’araméen “Golgotha”. C’est le nom de la colline située à l’extérieur de la ville de Jérusalem où l’on exécutait les condamnés à mort et sur laquelle le Christ fut crucifié.

Bonne découverte de La croix du lavoir de Charlay un patrimoine GPS 47.3544, 3.41514

Charlay est un hameau de Varzy, une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Découverte de l’église de Varzy – Église Sainte-Eugénie.

Découverte de l’église saint Pierre de Varzy – Église  de Varzy.

Découverte du lavoir du village de Charlay

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Nièvre Pompe Pompes ,

La pompe de Charlay un beau patrimoine

La pompe de Charlay – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté.

La pompe de Charlay est située au carrefour des départementales 102 et 278. C’est dans les années 1850 que la commune engage la mise en place d’un lavoir, la pompe, elle sera mise en place par la suite de manière a pouvoir puiser de l’eau claire.

Une belle pompe en fonte, cette pompe à manivelle est venue remplacer le puits du village, sur la pompe il est inscrit: « SAUZAY B AUTUN ». La source est protégée par un ouvrage en moellons enduit, fermé par une porte métallique.

En 1883 fondation à Autun de la maison “Sauzay Frères, constructeurs” (Maurice et Marc) spécialisés dans la fabrication et la commercialisation de pompes.

Le principe de fonctionnement de cette pompe à godets est simple, une chaîne entraînée par le volant de la pompe.

Cette chaîne est réalisée avec des maillons spéciaux, entourés de pièces sphériques en caoutchouc (appelées godets) qui circule dans un tube de cuivre de même diamètre que les godets, ceux-ci plongent dans l’eau et remontent celle-ci à la surface.

Cette pompe est à chapelets, le principe de fonctionnement de cette pompe est, d’élever une colonne d’eau dans un tuyau, grâce à des tampons de caoutchouc, de mêmes diamètres, que de celui de l’intérieur du tuyau.

Ils sont entrainés par une chaîne qui est elle-même actionnée par une manivelle à volant.

Le débit d’une pompe à chapelet dépend du diamètre du tuyau et de la vitesse de rotation de la chaîne.

Beaucoup de villages remplacent leurs puits par des pompes afin de conserver la qualité de l’eau évitant les maladies et infections dues à la pollution de ceux-ci.

Les Pompes un important patrimoine vernaculaire de la Nièvre 

Autrefois, bien avant que l’eau n’arrive au robinet de nos foyers, les puits étaient avec les fontaines, les pompes et les cours d’eau les seuls lieux d’alimentation en eau potable.

Reproduction le catalogue Pilter imprimé par de Chéret à Paris en 1878, numérisation du catalogue daté de 1898. (La pompe à godets fut inventée en Chine au Ier siècle après J.-C.)

Charlay est un hameau de Varzy, une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Découverte de l’église de Varzy – Église Sainte-Eugénie.

Découverte de l’église saint Pierre de Varzy – Église  de Varzy.

Découverte du lavoir du village de Charlay

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Abreuvoir Fontaines Nièvre ,

L’abreuvoir du village de Charlay un patrimoine

L’abreuvoir du village de Charlay – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté.

L’abreuvoir du village de Charlay est placé aux abords de la départementale 102, sur la droite en direction du centre du village.

Cet abreuvoir est alimenté par une petite source. Une fontaine est située à l’extrémité de la rigole.

L’abreuvoir : il est à la fois un lieu où l’on mène les animaux pour les faire boire ainsi qu’un contenant, plus ou moins important, permettant à l’animal de satisfaire son besoin en eau, des plus petits aux plus grands.

Un point d’eau naturel ou aménagé, généralement avec de l’eau courante, où les animaux vont boire.

Les ruminants ne consomment pas autant d’eau que ce que les médias reportent trop souvent.

Dans les chiffres des besoins en eau sont comptabilisés l’eau des aliments herbe, fourrage, etc. Il ne faut donc pas prendre dans ces chiffres de l’eau en tant que simple boisson.

Les besoins quotidiens en eau du bétail varient de manière importante selon les espèces animales.

Le poids et le stade de croissance de l’animal influent beaucoup sur les quantités d’eau que ce dernier boit chaque jour. Les besoins en eau varient donc selon l’espèce animale, l’exploitation agricole et les pratiques d’élevage.

Plus une vache boit d’eau, plus elle produira de lait (constitué à plus de 85 % d’eau). Au pic de lactation, une haute productrice peut consommer plus de 150 l d’eau. Un poney lui consomme de 10 à 15 l par jour, 25 l d’eau à des chevaux de 300-450 kg. Les besoin en eau pour une chèvre 4 à 10 l par jour.

La consommation d’eau domestique en France par habitants 150 l d’eau potable par jour et par personne !

L’élimination de l’eau s’effectue via trois voies principales. Il s’agit de la vapeur d’eau rejetée par la respiration et de l’eau contenue dans l’urine et les déjections. (et dans le lait).

Dans l’Union européenne, il n’existe pas de normes spécifiques pour l’eau destinée à l’abreuvement des animaux.

On doit donc se fonder sur les normes de l’eau de boisson de l’homme (décret no 89-3 du 3 janvier 1989) relatif aux eaux destinées à la consommation humaine.

Bonne découverte de l’abreuvoir du village de Charlay GPS 47.35315, 3.41428

Charlay est un hameau de Varzy, une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Découverte de l’église de Varzy – Église Sainte-Eugénie.

Découverte de l’église saint Pierre de Varzy – Église  de Varzy.

Découverte du lavoir du village de Charlay

  • L'abreuvoir du village de Charlay
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  • Source de Charlay
  • Bassin et source de Charlay
Croix Nièvre ,

La croix de Charlay un patrimoine

La croix de Charlay – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté.

La croix de Charlay est situé près d’un petit carrefour de chemin avec la départementale 278. Cette croix en fer forgé, abimé par les machines agricoles. La croix est fixée sur un socle à deux étages pyramidal en pierre.

De ce lieu un beau point de vue s’ouvre a notre regard, un banc permet de si reposer.

Les croix constituent une part importante du petit patrimoine de la Nièvre.

Les termes croix viennent du mot latin crux qui a le sens de « poteau ». Son usage en tant que symbole religieux remonte plusieurs siècles avant l’époque du Christ et a une valeur universelle. Le mot « calvaire » vient du latin calvarium, traduction de l’araméen Golgotha, voulant dire lieu où le Christ a été crucifié.

Une croix est généralement tournée vers l’ouest, car selon la tradition, le Christ est mort à l’ouest, face au soleil couchant. Depuis des millénaires, cette symbolique est aussi tourné vers le soleil couchant, attendant qu’il réapparaisse le lendemain.

Depuis le IVe siècle, la croix est imposée comme symbole du Christianisme. L’usage d’ériger des croix aux bords des chemins et aux carrefours des villes et villages est très ancien. C’est ainsi que nos ancêtres devenus chrétiens commencent à les ériger, en l’honneur du vrai Dieu Jésus Christ, Sauveur du Monde.

Les croix et les calvaires ont pris la place des ex voto païens. Avec le soutien des fidèles riches, les paroisses se lancent dans l’édification de calvaires. Ce sont des signes extérieurs de richesse à la gloire de Dieu. Un phénomène de concurrence et d’émulation entre bourgs et villages intervient.

Certains de ces monuments, construits au XIXe siècle, sont des souvenirs des missions, périodes marquées par des confessions massives, par de nombreux offices au cours desquels, interviennent les prédicateurs qui exhortaient les habitants du village à une plus grande foi.

Difficile de retracer l’histoire des calvaires, beaucoup d’entre eux sont des monuments commémoratifs. Ils sont à l’endroit où s’est produit un événement exceptionnel, un événement dont l’issue fut funeste ou heureuse.

 Les grandes épidémies comme la peste ont donné lieu à l’érection de croix pour remercier le ciel d’avoir épargné un village, une famille.

La Crucifixion est très fréquemment représentée dans les églises catholiques et orthodoxes par un ou plusieurs crucifix de tailles diverses. Il en est de même des calvaires, des maisons habitées par un croyant, des cimetières, etc. Dans les églises orthodoxes, la croix est à 6 ou 8 branches contre 4 à 6 chez les catholiques.

Un crucifix a pour l’essentiel la forme d’une croix latine, dont la barre verticale est allongée vers le bas et courte vers le haut, et pouvant porter dans cette partie supérieure le sigle INRI, acronyme de Jésus de Nazareth, Roi des Juifs.

Une statuette ou image de Jésus est fixée à la croix, montrant les clous dans ses mains et ses pieds et une blessure dans son côté gauche, en référence aux récits de la Passion. Un calvaire se définit par une croix complexe avec des statues de personnages nombreux.

Rien à voir avec les milliers de crucifix qui jalonnent nos routes à la croisée des chemins qui ne sont pas du tout des calvaires, mais simplement des croix avec ou sans le Christ et des croix de mission.

Une « croix d’évangélisation » qui perpétue la tradition judéo-chrétienne. L’annonce orale des douze Apôtres vers les quatre points cardinaux y est symbolisée par trois perles sur chaque bras de la croix ; la perle centrale représentant le Verbe en Marie dans l’Église-mère de Jérusalem avec les quatre petites perles des quatre textes de référence évangélique. À minima le calvaire est une croix avec Jésus crucifié.

Mot d’origine latine qui signifie : “crâne” correspondant à l’araméen “Golgotha”. C’est le nom de la colline située à l’extérieur de la ville de Jérusalem où l’on exécutait les condamnés à mort et sur laquelle le Christ fut crucifié.

Divers matériaux sont utilisés ; le bois, la pierre (calcaire, grès, granit, marbre…), le fer forgé moulée, le béton moulé.

Les croix de cimetière dominent le plus souvent celui-ci, signe d’Espérance chrétienne. La Croix Hosannière généralement en face du portail de l’église pour bénir les Rameaux et chanter l’Hosanna.

La Croix de mission érigée à la suite de la Mission évangélique d’un prédicateur extérieur de la paroisse. La Croix de Rogations où l’on se rendait en procession pour la bénédiction de la terre et des récoltes, les trois jours avant l’Ascension.

La Croix de pèlerinage et de procession : jalonnant les sentiers conduisant aux chapelles et ermitages. La Croix de bornage en limites des paroisses ou de domaine appartenant à une abbaye, marquant les limites de la « Sauveté », zone de protection et d’embauche.

La Croix de justice située sur la place principale du village. La Croix des ponts, des sommets, des sources et fontaines pour christianiser ces lieux.

Les Croix commémoratives. Les Croix de Jubilé érigées les années saintes, tous les 25 ans, ou les années en 33-34 (âge du Christ).

Bonne découverte de: « La croix de Charlay » GPS 47.35783, 3.4066

Charlay est un hameau de Varzy, une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

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Découverte de l’église de Varzy – Église Sainte-Eugénie.

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Découverte du lavoir du village de Charlay

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Abreuvoir Nièvre ,

Abreuvoir de Charlay un patrimoine vernaculaire de Varzy

Abreuvoir de Charlay – Patrimoine vernaculaire de la commune de Varzy – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

L’abreuvoir de Charlay est situé entre la départementale 102 et la rue de l’Abreuvoir. Un espace clos par un muret qui délimite une petite zone humide. Au fond, sur la gauche, contre le mur trois grands abreuvoirs rectangulaires en béton dans lesquels une petite source déverse son eau qui passe d’abreuvoir en abreuvoir, le trop-plein ce déverse ensuite dans l’espace de cet enclos, créant une petite « pataugeoire » ou mare.

Abreuvoir : il est à la fois un lieu où l’on mène les animaux pour les faire boire ainsi qu’un contenant, plus ou moins important, permettant à l’animal de satisfaire son besoin en eau, des plus petits aux plus grands. Un point d’eau naturel ou aménagé, généralement avec de l’eau courante, où les animaux vont boire.

Les ruminants ne consomment pas autant d’eau que ce que les médias reportent trop souvent.

Dans les chiffres des besoins en eau sont comptabilisés l’eau des aliments herbe, fourrage, etc. Il ne faut donc pas prendre dans ces chiffres de l’eau en tant que simple boisson.

Les besoins quotidiens en eau du bétail varient de manière importante selon les espèces animales. Le poids et le stade de croissance de l’animal influent beaucoup sur les quantités d’eau que ce dernier boit chaque jour. Les besoins en eau varient donc selon l’espèce animale, l’exploitation agricole et les pratiques d’élevage.

Plus une vache boit d’eau, plus elle produira de lait (constitué à plus de 85 % d’eau). Au pic de lactation, une haute productrice peut consommer plus de 150 l d’eau. Un poney lui consomme de 10 à 15 l par jour, 25 l d’eau à des chevaux de 300-450 kg. Les besoin en eau pour une chèvre 4 à 10 l par jour.

La consommation d’eau domestique en France par habitants 150 l d’eau potable par jour et par personne !

L’élimination de l’eau s’effectue via trois voies principales. Il s’agit de la vapeur d’eau rejetée par la respiration et de l’eau contenue dans l’urine et les déjections.

Dans l’Union européenne, il n’existe pas de normes spécifiques pour l’eau destinée à l’abreuvement des animaux. On doit donc se fonder sur les normes de l’eau de boisson de l’homme (décret no 89-3 du 3 janvier 1989) relatif aux eaux destinées à la consommation humaine.

Varzy est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

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Découverte du lavoir du village de Charlay

Lavoirs Nièvre ,

Lavoir de Charlay un beau patrimoine vernaculaire

Lavoir de Charlay – Patrimoine vernaculaire de Varzy – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne Franche-Comté

Le lavoir de Charlay, est situé sur un lieu de passage, au cœur du hameau de Charlay. C’est dans les années 1850 que la commune engage la construction du lavoir.

La création de cet édifice, témoigne d’une prise de conscience collective de l’importance de l’hygiène.

Les lavoirs disparaîtront cependant dans les années 1950 – 1960, avec la généralisation de la machine à laver.

Ce Lavoir possède un puits, une pompe a volant, une fontaine, un bac.

Il est couvert d’une toiture en petites tuiles plates. La municipalité l’a fait remettre en état le en juin 2013. Un peu plus loin dans le village se trouve un lavoir pour les animaux ainsi qu’un abreuvoir.

Les épidémies, puis la recherche d’ hygiène entraînent le développement de constructions spécifiques le lavoir, à la fin du XVIIIe siècle, les communes se munissent de bassins situés au bas d’une prairie, en contrebas d’une source ou d’une fontaine, en bordure d’un ruisseau, d’un canal, d’une rivière ou d’un fleuve.

Le Parlement vote une loi le 3 février 1851 qui accorde un crédit spécial pour subventionner à hauteur de 30 % la construction des lavoirs couverts et prévoit que « c’est au lavoir commun que la laveuse trouvera une distribution commode d’eau chaude et d’eau froide, des appareils de séchage qui lui permettent une économie de temps, et qui lui évite d’effectuer le blanchissage dans l’habitation ». Au moulin on entend les nouvelles ; au lavoir on entend les commérages.

Le lavoir était réputé pour être un lieu de médisance mais, la solidarité était présente, ne serait-ce que pour tordre le linge à deux en sens inverse.

Les conditions de travail y étaient pénibles, les mains des femmes, plongées dans l’eau fraîche et parfois, glacée l’hiver, en ressortaient meurtries, gercées et crevassées. Elles faisaient grande consommation de pommade.

Varzy est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne Franche-Comté.

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Découverte de l’église de Varzy – Église Sainte-Eugénie.

Découverte de l’église saint Pierre de Varzy – Église  de Varzy.

Bonne découverte du Lavoir de Charlay – Patrimoine vernaculaire de Varzy GPS 47.35441, 3.41505

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