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Monument aux morts de Saint Parize le Chatel un hommage

Monument aux morts de Saint Parize le Chatel – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne Franche-Comté.

Le monument aux morts de Saint Parize le Chatel est situé dans le cimetière communal, le long de la rue d’Azy. C’est un Pilier commémoratif représenté par une colonne quadrangulaire avec un chapiteau sculpté. Sur la colonne une épée, une couronne de lauriers, et un drapeau.

sur plaque de marbre sur le socle: « Saint Parize-le-Chatel à ses glorieux enfants morts pour la Patrie.

1914 – 1918

Antonin BILLARD 11 août 1914 Antoine THOMAS 20 août 1914 Jean THOMAS 29 août 1914 Émile VOISIN 3 octobre 1914 Pierre SOUMIER 12 octobre 1914 Alfred TALBOTIER 20 octobre 1914 Aimé GONET 29 octobre 1914 François MINOT 15 décembre 1914 Pierre GODARD 12 mars 1915 Jean-Baptiste CHEVRIOT 15 avril 1915 Louis DENIS 15 juin 1915 René GIRARD 22 juin 1915 Jean BERTHAULT 2 juillet 1915 Louis CHAUSSIN 8 juillet 1915 Charles MORILLON 1883-1915 François CORNU 13 août 1916 Antoine DÉSABRES 7 août 1915 Prosper FOUCRIER 26 septembre 1915 François CHENU 6 octobre 1915 Émile DUPRE 27 octobre 1915 François TRÉSORIER 1er novembre 1915 Gilbert DAUBON 4 janvier 1916 Étienne LAPOINTE 30 mars 1916 Désiré GANDAT 5 septembre 1916 Pierre RACLIN 10 septembre 1916 Gaston BOISARD 14 septembre 1916 Pierre BILLAT 16 septembre 1916 Jean Baptiste ROUSSET 21 septembre 1916 Pierre BERNARD 13 avril 1917 Pierre GANDAT 19 avril 1917 Louis LELU 4 mai 1917 Georges RICHARD 29 septembre 1917 Jean ROSIER 16 octobre 1917 Albert PRAT 30 mars 1918 Ernest TALPIN 9 mai 1918 Émile GAULIAI 22 juillet 1918 Lieutenant Georges de la BROSSE 28 juillet 1918 Ernest CHERRUAULT 8 septembre 1918 Claude CHENU 17 septembre 1918 Gabriel LORIOT 29 septembre 1918 François MINARD 1er novembre 1918 Ulysse RENOUX 1er décembre 1918 Pierre LAMOUSSIERE 7 mars 1919 Louis THOMAS 7 octobre 1914.

1939 – 1945

BEAUFRERE Pierre 1940 DUPRE Louis Émile 1944 GAINE Raymond 1943 LAFORGE Claude 1940.

Indochine 1946 – 1954

1948 Lieutenant J. GUILLAUME 1954 Roger DUPRÉ

Bonne découverte du Monument aux morts de Saint Parize le Chatel GPS 46.85174, 3.18658

Saint Parize le Chatel est une commune française, située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne Franche-Comté .

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Découverte de la Crypte Crypte de Saint Parize le Chatel.

Découverte de l’église de Saint Parize le Chatel.

Découverte des Vitraux de l’ Église de Saint Parize le Chatel.

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Girouettes Nièvre ,

Belles girouettes de Bourras la Grange un beau patrimoine

Les Belles girouettes de Bourras la Grange – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté.

Belles girouettes de Bourras la Grange sont située sur la toiture d’un bâtiment aménagé en habitation principale, il était, en 1785, la propriété des « De la Ferté Meung » alliés aux de Boisjardin. Une propriété privée.

Nous pouvons découvrir deux très belles girouettes placées a chaque extrémité de la toiture d’une grande bâtisse. L’écu rappel le bouclier.

L’une d’elles représente d’après l’armorial du Nivernais du comte de Soultrait: « d’azur, à la fasce, accompagnée en chef de deux fleurs de lys, et en pointe d’un pal cometé, le tout d’or « .

La deuxième représente un blason lui aussi avec flamme, tiercé en fasce, deux étoiles dans sa partie supérieure, au centre il est coupé horizontalement, en bas au centre une autre étoile.

L’abbaye de Bourras est crée le 8 septembre 1119 à Saint Malo en Donziois sous l’impulsion d’Hugues de Thil, seigneur de Champlemy, et sa femme Alix de Montenoison. C’est une ancienne abbaye cistercienne située dans la Nièvre, à Saint-Malo-en-Donziois.

Les girouettes du Nivernais.

Une girouette c’est un dispositif généralement métallique, principalement en hauteur et plus souvent placé sur un toit. La girouette est constituée d’un élément rotatif monté sur un axe vertical fixe.

Le terme français est issu d’un dialecte de la Loire guiroie, par déformation populaire à partir du verbe girer « tourner » deviens au fil du temps girouette tirer du vocabulaire marin girer les proues réinterprétées en -ouette. Les « ornements de toiture ».

Au IXe siècle, le pape Nicolas Ier décide de rappeler aux chrétiens la phrase de Jésus à Pierre : « Avant que le coq chante, tu m’auras renié trois fois » en installant un coq au sommet des clochers des cathédrales, des églises, souvent couronnés d’une belle girouette.

Pendant le Moyen Âge, il n’était pas permis à tout le monde de placer des girouettes sur les toitures des habitations. Le château, seul avec l’église, pouvait posséder des girouettes.

La girouette seuls les seigneurs pouvaient autrefois placer sur leur logis une girouette. Il existait un « droit de girouette » et la coutume stipule qu’elles sont « en pointe comme les pennons, pour les simples chevaliers, et carrées comme les bannières, pour les chevaliers d’un rang supérieur ».

La Révolution Française de 1791 proclamant l’abolition des privilèges de l’Ancien Régime entraîna la fin de cette prérogative des nobles d’arborer des girouettes. « Le droit seigneurial et exclusif d’avoir des girouettes sur les maisons est aboli et il est libre à chacun d’en placer à son gré et dans telle forme qu’il jugera à propos ».

Le droit de girouette, libéré des privilèges nobiliaires, se répandit chez les bourgeois, les artisans et les formes de ces objets du vent se diversifieront de même que les thèmes traités : chimères, gueules béantes, animaux mythiques et fantastiques firent leur apparition sur les toits. Devenue ornementales, les girouettes deviennent de véritables œuvres d’art qui rappellent le statut du propriétaire du lieu, et par la même le métier, la passion etc…

Dès lors elles permettent aux voyageurs de découvrir les girouettes-enseignes : « du forgeron, du laboureur avec son attelage, de l’éleveur, du relais avec son cheval cabré ou la calèche, du meunier avec son moulin, du vigneron, du tonnelier de la taverne…

Un « quidam » va dénoncer, par le biais d’un acte de notoriété déposé auprès du juge ordinaire royal de la vicomté de Murat, « les particuliers de ceste ville et vicomté de Murat, possédans de maizon en rotture, ont au faiste de leurs maizons des giroettes ». Daté du 13 novembre 1680.

Dans le dictionnaire raisonné de l’architecture française (1854 à 1868) de Viollet-le-Duc, l’objet nommé girouette est décrit comme « plaque de fer-blanc qui est mobile sur une queue ou pivot, qu’on met sur les clochers, les pavillons, les tours et autres édifices, pour connaître de quel côté le vent souffle ».

Dès le XIXe siècle la pose de la girouette indique que la toiture de la maison est achevée, elle permettait aussi d’indiquer au passant les maisons des notables : « forgerons, artisans, notaires, médecins, musiciens, etc. ».

Bonne découverte des Belles girouettes de Bourras la Grange GPS 47.31319, 3.32939

Champlemy est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté

Bonne découverte du Puits de Bourras la Grange GPS 47.31365, 3.33159

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Découverte de église de Champlemy – Église Saint-Maurice.

  • Belles girouettes de Bourras la Grange
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Barrage Nièvre Pierre. menhir. Dolmen ,

Les roches bleues des Settons un beau patrimoine

Les roches bleues des Settons – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

Les roches bleues des Settons « granites subalcalins », le barrage repose sur deux imposants blocs de granit bleu, le plus dur des granites du Morvan, de chaque côté de l’ouvrage. Que nous pouvons observer.

Le barrage des Settons avec son lac artificiel de 360 ha est le plus ancien du Morvan. Bâti avec des pierres taillées de granite venant de la forêt Breuil-Chenue transportées avec des chars à bœufs.

Les pierres en granite ont de nombreuses qualités, le granite est très dur, il ne s’effrite pas et est non gélive, il passe l’épreuve du temps mieux que beaucoup d’autres roches.

Le granité est une roche éruptive d’une grande dureté, formée par l’association homogène de trois minéraux : quartz, feldspath à potasse et mica. Le granité est appelé « pegmatite » ou « microgranite », selon que son grain est gros ou fin.

Le granite « sain » est une roche dure et imperméable. Au cours des siècles les blocs de granite se fracture, apparaissent des fissures ou diaclases.

Grâce celle-ci, l’eau, va circuler en profondeur et, provoquer par hydrolyse la transformation de la biotite et des feldspaths en argile.

Le granite a une densité de 2,7, ce qui veut dire qu’un bloc d’un m3 pèse 2700kg. Le Morvan s’étend sur environ 140 kilomètres du nord au sud et 60 kilomètres d’est en ouest.

À la fin de l’ère primaire, le Morvan est une montagne dont les sommets atteignaient trois mille mètres d’altitude. Le Morvan n’est plus, de nos jours, qu’un empilement un peu désordonné des débris laissés par toute une série d’accidents géologiques et par l’érosion.

Bonne découverte de:  » Les roches bleues des Settons  » GPS 47.19673, 4.05571 – GPS 47.19581, 4.057

Montsauche-les-Settons est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

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Découverte du Le barrage des Settons

Découverte du Musée Ma p’tite école

Découverte de l’église de Montsauche – Église Saint-Barthélemy.

Découverte de l’étang Taureau – Plan d’eau du Taureau.

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Nièvre Puits

Puits sortie de La Coudraye un patrimoine

Puits sortie de La Coudraye – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté.

Le puits sortie de La Coudraye, situé à l’ouest du village, aux abords de la départementale 213. Un des nombreux puits du village de la Coudraye.

Un puits imposant, possédant encore son mécanisme de relevage, soutenue par des montants en fer forgé. Sa couronne est octogonale. Il est principalement édifié en gros bloc de pierre calcaire.

Les Puits un important patrimoine vernaculaire de la Nièvre

Autrefois, bien avant que l’eau n’arrive au robinet de nos foyers, les puits étaient avec les fontaines et les cours d’eau les seuls lieux d’alimentation en eau potable.

Les puits et les fontaines sont souvent situés au centre d’une place, ils constituaient un lieu majeur de la sociabilité villageoise, un lieu d’échanges, de discussions et parfois de conflits, vers lequel convergeaient principalement les ménagères et les enfants, au moins deux fois par jour, matin et soir.

L’eau des puits était utilisée comme point d’eau autour des maisons, et pour arroser les jardins et les cultures. Les premiers puits étaient probablement de très simples trous non protégés des éboulements et qui n’ont pas résisté au temps et de ce fait ont disparu.

Jusqu’aux années 60, le mécanisme des puits était construit en bois, dès la révolution industrielle, fin du XIXe siècle, le mécanisme est fabriqué en fer et les puits fonctionnent désormais à l’aide d’un système mécanique. Un puits à eau est le résultat d’un terrassement vertical, par forage, havage, ou manuel permettant l’exploitation d’une nappe d’eau souterraine, un aquifère.

L’eau est remontée au niveau du sol grâce à un seau placé au bout d’une corde, ou par pompage. Les puits sont très divers, en raison de leur mode de creusement, leur profondeur, leur volume d’eau, ou leur équipement.

Les témoignages archéologiques anciens datent du Néolithique, et ils sont en Europe localisés sur le pourtour de la Méditerranée ou en Europe centrale et Europe de l’Est. Le plus ancien puits du monde a été découvert à Chypre sur le site de Kissonerga,  il est daté du Xe au IXe millénaire. Les premiers puits étaient probablement de très simples trous non protégés des éboulements et qui n’ont pas résisté au temps et de ce fait ont disparu.

Sur les places des villes, on creusait de larges puits, si la situation des localités ne permettait pas l’établissement d’une fontaine.  Les puits placés extérieurement sur la voie publique étaient d’une grande simplicité.

Ceux qui s’ouvraient dans les églises où les cloîtres étaient souvent très richement ornés. Leurs margelles, les supports des poulies, devenaient un motif de décoration.

 Il existe encore dans quelques villes de France des puits ayant conservé leurs armatures de fer des XVe et XVIe siècles. Les constructeurs du moyen âge ne procédaient pas autrement que nous pour percer des puits. Creusant un trou cylindrique, ils y plaçaient un rouet de bois de chêne, sur lequel on élevait le mur en tour ronde. Déblayant peu à peu sous le rouet, celui-ci descendait avec la portion de maçonnerie qu’il supportait ; on complétait, à mesure de l’abaissement du rouet, cette maçonnerie cylindrique dans la partie supérieure. (Dictionnaire Raisonne de l’Architecture Française – Volume 7- Viollet-le-Duc)

Le puits est le résultat d’un terrassement vertical, par forage manuel, qui permet l’exploitation de la nappe d’eau souterraine, un aquifère. L’eau peut être remontée au niveau du sol grâce à un seau ou une pompe, manuelle. Les puits sont très divers, que ce soit par leur mode de terrassement, de réalisation, de leur profondeur, de leur volume d’eau, ou de l’équipement qu’il possède.

En France, le volume d’eau souterraine est estimé à 2000 milliards de mètres cubes dont 100 milliards de m3/an s’écoulent vers les sources et les cours d’eau. Environ 7 milliards de m3/an sont prélevés dans les nappes d’eau souterraine, par captage des sources, puits ou forages ; la moitié est utilisée pour l’eau potable.

Suivant les nappes, les volumes soutirés par année (par les exploitations) sont de l’ordre de 1 à 10% de leur débit naturel mais, dans certains cas, ce pourcentage peut atteindre 50%, voire 100%.

Bonne découverte du Puits sortie de La Coudraye GPS 47.33333, 3.59333

La Coudraye est un hameau de la commune de Lys, commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Découverte de La balance de La Coudraye sur la place du village.

Découverte d’un des puits de la Coudraye – Patrimoine vernaculaire de Lys.

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  • Puits sortie de La Coudraye
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Croix Nièvre

Croix de carrefour de La Coudraye un patrimoine

Croix de carrefour de La Coudraye – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté.

La croix de carrefour de La Coudraye est située aux abords de la place centrale et de la départementale 213. Une croix en fer forgé fixée dans une stèle en pierre, d’après un des anciens villages cette croix, en aurait remplacé une plus ancienne qui était en pierre.

Celle-ci est protégée par un petit enclos fait de trois bornes cylindriques reliées entre elles par des barres de métal.

Les croix constituent une part importante du petit patrimoine de la Nièvre.

Les termes croix viennent du mot latin crux qui a le sens de « poteau ». Son usage en tant que symbole religieux remonte plusieurs siècles avant l’époque du Christ et a une valeur universelle. Le mot « calvaire » vient du latin calvarium, traduction de l’araméen Golgotha, voulant dire lieu où le Christ a été crucifié.

Une croix est généralement tournée vers l’ouest, car selon la tradition, le Christ est mort à l’ouest, face au soleil couchant. Depuis des millénaires, cette symbolique est aussi tourné vers le soleil couchant, attendant qu’il réapparaisse le lendemain.

Depuis le IVe siècle, la croix est imposée comme symbole du Christianisme. L’usage d’ériger des croix aux bords des chemins et aux carrefours des villes et villages est très ancien. C’est ainsi que nos ancêtres devenus chrétiens commencent à les ériger, en l’honneur du vrai Dieu Jésus Christ, Sauveur du Monde.

Les croix et les calvaires ont pris la place des ex voto païens. Avec le soutien des fidèles riches, les paroisses se lancent dans l’édification de calvaires. Ce sont des signes extérieurs de richesse à la gloire de Dieu. Un phénomène de concurrence et d’émulation entre bourgs et villages intervient.

Certains de ces monuments, construits au XIXe siècle, sont des souvenirs des missions, périodes marquées par des confessions massives, par de nombreux offices au cours desquels, interviennent les prédicateurs qui exhortaient les habitants du village à une plus grande foi.

Difficile de retracer l’histoire des calvaires, beaucoup d’entre eux sont des monuments commémoratifs. Ils sont à l’endroit où s’est produit un événement exceptionnel, un événement dont l’issue fut funeste ou heureuse.

 Les grandes épidémies comme la peste ont donné lieu à l’érection de croix pour remercier le ciel d’avoir épargné un village, une famille.

La Crucifixion est très fréquemment représentée dans les églises catholiques et orthodoxes par un ou plusieurs crucifix de tailles diverses. Il en est de même des calvaires, des maisons habitées par un croyant, des cimetières, etc. Dans les églises orthodoxes, la croix est à 6 ou 8 branches contre 4 à 6 chez les catholiques.

Un crucifix a pour l’essentiel la forme d’une croix latine, dont la barre verticale est allongée vers le bas et courte vers le haut, et pouvant porter dans cette partie supérieure le sigle INRI, acronyme de Jésus de Nazareth, Roi des Juifs.

Une statuette ou image de Jésus est fixée à la croix, montrant les clous dans ses mains et ses pieds et une blessure dans son côté gauche, en référence aux récits de la Passion. Un calvaire se définit par une croix complexe avec des statues de personnages nombreux.

Rien à voir avec les milliers de crucifix qui jalonnent nos routes à la croisée des chemins qui ne sont pas du tout des calvaires, mais simplement des croix avec ou sans le Christ et des croix de mission.

Une « croix d’évangélisation » qui perpétue la tradition judéo-chrétienne. L’annonce orale des douze Apôtres vers les quatre points cardinaux y est symbolisée par trois perles sur chaque bras de la croix ; la perle centrale représentant le Verbe en Marie dans l’Église-mère de Jérusalem avec les quatre petites perles des quatre textes de référence évangélique. À minima le calvaire est une croix avec Jésus crucifié.

Mot d’origine latine qui signifie : “crâne” correspondant à l’araméen “Golgotha”. C’est le nom de la colline située à l’extérieur de la ville de Jérusalem où l’on exécutait les condamnés à mort et sur laquelle le Christ fut crucifié.

Divers matériaux sont utilisés ; le bois, la pierre (calcaire, grès, granit, marbre…), le fer forgé moulée, le béton moulé.

Les croix de cimetière dominent le plus souvent celui-ci, signe d’Espérance chrétienne. La Croix Hosannière généralement en face du portail de l’église pour bénir les Rameaux et chanter l’Hosanna. La Croix de mission érigée à la suite de la Mission évangélique d’un prédicateur extérieur de la paroisse. La Croix de Rogations où l’on se rendait en procession pour la bénédiction de la terre et des récoltes, les trois jours avant l’Ascension. La Croix de pèlerinage et de procession : jalonnant les sentiers conduisant aux chapelles et ermitages. La Croix de bornage en limites des paroisses ou de domaine appartenant à une abbaye, marquant les limites de la « Sauveté », zone de protection et d’embauche. La Croix de justice située sur la place principale du village. La Croix des ponts, des sommets, des sources et fontaines pour christianiser ces lieux. Les Croix commémoratives. Les Croix de Jubilé érigées les années saintes, tous les 25 ans, ou les années en 33-34 (âge du Christ).

Bonne découverte de la Croix de carrefour de La Coudraye GPS 47.33403, 3.5965

La Coudraye est un hameau de la commune de Lys, commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Découverte de La balance de La Coudraye sur la place du village.

Découverte d’un des puits de la Coudraye – Patrimoine vernaculaire de Lys.

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  • Croix de carrefour de La Coudraye
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Croix Nièvre

Croix du cimetière de Brassy un patrimoine

La croix du cimetière de Brassy – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté.

La croix du cimetière de Brassy est au centre de l’ancien, situé aux abords de la départementale 6. Une croix monumentale en pierre, bondée.

Son fût circulaire est décoré d’un ruban, et de petites fleurs de lys. Le dé sur lequel est fixé le fut, est cubique, celui-ci repose sur un emmarchement pyramidal de trois marches.

Les croix constituent une part importante du petit patrimoine de la Nièvre.

Les termes croix viennent du mot latin crux qui a le sens de « poteau ». Son usage en tant que symbole religieux remonte plusieurs siècles avant l’époque du Christ et a une valeur universelle. Le mot « calvaire » vient du latin calvarium, traduction de l’araméen Golgotha, voulant dire lieu où le Christ a été crucifié.

Une croix est généralement tournée vers l’ouest, car selon la tradition, le Christ est mort à l’ouest, face au soleil couchant. Depuis des millénaires, cette symbolique est aussi tourné vers le soleil couchant, attendant qu’il réapparaisse le lendemain.

Depuis le IVe siècle, la croix est imposée comme symbole du Christianisme. L’usage d’ériger des croix aux bords des chemins et aux carrefours des villes et villages est très ancien. C’est ainsi que nos ancêtres devenus chrétiens commencent à les ériger, en l’honneur du vrai Dieu Jésus Christ, Sauveur du Monde.

Les croix et les calvaires ont pris la place des ex voto païens. Avec le soutien des fidèles riches, les paroisses se lancent dans l’édification de calvaires. Ce sont des signes extérieurs de richesse à la gloire de Dieu. Un phénomène de concurrence et d’émulation entre bourgs et villages intervient.

Certains de ces monuments, construits au XIXe siècle, sont des souvenirs des missions, périodes marquées par des confessions massives, par de nombreux offices au cours desquels, interviennent les prédicateurs qui exhortaient les habitants du village à une plus grande foi.

Difficile de retracer l’histoire des calvaires, beaucoup d’entre eux sont des monuments commémoratifs. Ils sont à l’endroit où s’est produit un événement exceptionnel, un événement dont l’issue fut funeste ou heureuse.

 Les grandes épidémies comme la peste ont donné lieu à l’érection de croix pour remercier le ciel d’avoir épargné un village, une famille.

La Crucifixion est très fréquemment représentée dans les églises catholiques et orthodoxes par un ou plusieurs crucifix de tailles diverses. Il en est de même des calvaires, des maisons habitées par un croyant, des cimetières, etc. Dans les églises orthodoxes, la croix est à 6 ou 8 branches contre 4 à 6 chez les catholiques.

Un crucifix a pour l’essentiel la forme d’une croix latine, dont la barre verticale est allongée vers le bas et courte vers le haut, et pouvant porter dans cette partie supérieure le sigle INRI, acronyme de Jésus de Nazareth, Roi des Juifs.

Une statuette ou image de Jésus est fixée à la croix, montrant les clous dans ses mains et ses pieds et une blessure dans son côté gauche, en référence aux récits de la Passion. Un calvaire se définit par une croix complexe avec des statues de personnages nombreux.

Rien à voir avec les milliers de crucifix qui jalonnent nos routes à la croisée des chemins qui ne sont pas du tout des calvaires, mais simplement des croix avec ou sans le Christ et des croix de mission.

Une « croix d’évangélisation » qui perpétue la tradition judéo-chrétienne. L’annonce orale des douze Apôtres vers les quatre points cardinaux y est symbolisée par trois perles sur chaque bras de la croix ; la perle centrale représentant le Verbe en Marie dans l’Église-mère de Jérusalem avec les quatre petites perles des quatre textes de référence évangélique. À minima le calvaire est une croix avec Jésus crucifié.

Mot d’origine latine qui signifie : “crâne” correspondant à l’araméen “Golgotha”. C’est le nom de la colline située à l’extérieur de la ville de Jérusalem où l’on exécutait les condamnés à mort et sur laquelle le Christ fut crucifié.

Brassy est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Bonne découverte de la croix du cimetière de Brassy GPS 47.26495, 3.93703


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Découverte de monument aux morts de la commune de Brassy.

Découverte du lac de Chaumeçon.

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