Châteaux Manoirs Nièvre ,

Le château de Selins un patrimoine

Le château de Selins – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté.

Le château de Selins est situé au sud du hameau, aux abords de la départementale 135. Un beau manoir de plan rectangulaire, possédant un étage et des combles aménagés.

Les combles ont pas moins de 15 fenêtres pour les éclairer. Ses toitures sont en ardoises.

Le beau manoir de Selins est éclairés par de nombreuses baies. Seule les baies du rez de chaussé ont des volets.

Un petit pigeonnier et des communs complètent le domaine. Les cartes postales anciennes ne reflètent pas du tout l’actuel château.

Bonne découverte du château de Selins GPS 47.12307, 3.60919 . Une belle propriété privée.

Selins est un hameau Français de la commune de Bazolles du département de la Nièvre de la région Bourgogne-Franche-Comté.

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Découverte de la Façade aux médailles de la ville de Corbigny

Bonne découverte des plaques de concours de Rigolat

Bonne découverte des plaques de concours d’Isenay

  • Le beau manoir de Selins
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Médailles et plaques Nièvre ,

Plaques de concours de Selins un beau patrimoine

Plaques de concours de Selins – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté.

Les plaques de concours de Selins sont placées sur la façade d’un grand bâtiment d’une belle exploitation agricole du village, située le long de la départementale 135. Belle propriété privée.

En 2020 lors d’un passage dans le village, nous avons découvert mon épouse et moi cette façade décorée de nombreuses plaques de concours. Chapeau à nos agriculteurs et éleveurs.

Ouvert en 1864 par la société d’agriculture de la Nièvre, le herd-book, le livre généalogique de la race bovine. De nombreux concours locaux où sont présentés des taureaux et des génisses sont récompensés avec un classement et obtentions des plaques de couleurs, le jaune est réservé au prix d’honneur décerné par le herd-book.

Beaucoup de concours sont organisés dans nos campagnes, ces plaques récompenses les agriculteurs, les éleveurs lors de présentations de concours, de présentations d’animaux « élites » : équidés de traits, bovins, ovins, caprins, porcins, chiens et chats de race, de fleurs, de labours etc . souvent mis en place lors de comices agricoles

Sur ces plaques, qui, au départ pouvaient être en bois sculptés puis, en fonte, en fonte aluminium.

Sur ces médailles, ces récompenses étaient gravées le type de concours au-dessus au centre la date le type de concours, sur le bas la dénomination du concours. (le prix, le classement).

Il en existe de différentes formes ronde, rectangulaire puis la plus commune de forme ovale, elles nous rappellent des boucles de ceinturons.

Les concours de produits et de vins, les concours des pratiques agroécologiques (créés en 2014), composé de deux concours : agroforesterie et prairies et parcours.

La première reconnaissance agricole est L’ordre du « mérite agricole » un ordre honorifique français institué le 7 juillet 1883 par le ministre de l’Agriculture, Jules Méline.

Selins est un hameau de la commune française de Bazolles de la Nièvre en Bourgogne-Franche-Conté.

Bonne découverte des plaques de concours de Selins GPS 47.12546, 3.61025

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Découverte de la Façade aux médailles de la ville de Corbigny

Bonne découverte des plaques de concours de Rigolat

Bonne découverte des plaques de concours d’Isenay

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Lavoirs Nièvre ,

Le lavoir couvert de Selins un patrimoine

Le lavoir couvert de Selins – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté.

Le lavoir couvert de Selins est situé à l’ouest de la départementale 135, en venant de Chevrenot, un beau lavoir de plan rectangulaire, coiffé d’une toiture à deux pentes couverte de tuiles plates.

Le lavoir est construit en moellon enduit. Neuf baies situées en hauteur éclairent l’intérieur, une porte permet l’accès au bassin. Il est alimenté par une petite source. Le profond bassin est bordé de margelles en pierre de taille calcaire.

Les lavoirs constituent une part importante du petit patrimoine bâti de la Nièvre.

Le Parlement vote une loi le 3 février 1851 qui accorde un crédit spécial, pour subventionner à hauteur de 30 %, la construction des lavoirs couverts et, prévoit que « c’est au lavoir commun que la laveuse trouvera une distribution commode d’eau chaude et d’eau froide, des appareils de séchage qui lui permettent une économie de temps, et qui lui évitent d’effectuer le blanchissage dans l’habitation ».

Le rôle social du lavoir était primordial. C’est là que les femmes se retrouvaient, chacune ayant une place précise, sous l’autorité de la doyenne. On riait, on papotait.

Les femmes qui ne pouvaient pas faire garder leurs enfants en bas âge venaient avec eux au lavoir.

Il était autrefois un lieu de rencontre animé où se retrouvaient régulièrement les habitantes.

Les conditions de travail y étaient fort pénibles, les intempéries, les mains des femmes, plongées dans l’eau fraîche et parfois, glacée l’hiver, en ressortaient souvent meurtries, gercées et crevassées. Elles faisaient une grande consommation de pommade pour pouvoir continuer leur dur labeur. Le lavoir était réputé autrefois, pour être un lieu de médisance, mais il permettait de rompre l’isolement des femmes, la solidarité des dames était bien présente, ne serait-ce que pour tordre le linge à deux en sens inverse.

Le lavoir représente tout un pan de notre mémoire populaire. C’est à ce titre qu’il doit être respecté,

Il fallait souvent faire plusieurs voyages dans la journée, parfois sur plusieurs kilomètres pour aller au lavoir du pays, pour pouvoir porter les corbeilles de linge sale, le coffre, le battoir, parfois la planche à laver, et naturellement le savon et la brosse. La brouette (la beurouette en patois morvandiau) qui n’était pas d’une grande capacité.

– Le coffre, le Cabasson, ou boîte à laver, souvent aussi le carrosse (ou parfois, caisse). Renforcé avec des chiffons ou de la paille, et calé au bord de la pierre à laver, il permettait à la lavandière de se mettre à genoux avec un minimum de confort.

– Le battoir à linge : le tapoir, en patois morvandiau le tapoué. La lavandière mettait le linge en boule et « tapait » dessus avec énergie : elles tapoueillaient!

– La planche à laver : on l’utilisait pour laver à la rivière ou à la fontaine : elle remplaçait la margelle à laver du lavoir.

– Le chevalet était fabriqué en bois, il permettait de suspendre provisoirement le linge et de le faire égoutter, lorsqu’il n’y avait pas d’étendoir au lavoir. 

– Le savon sert à décoller la crasse, à détacher le linge sale, le gros savon, conditionné en forme de gros cube. On pouvait utiliser la saponaire, appelée aussi herbe à foulon (dans certaines régions, les foulons piétinaient foulaient au pied – la laine dans des bassins), dont les racines ont particularité de faire de la mousse. On l’utilisait en décoction froide. La saponaire est une plante à fleurs violacées qui pousse au printemps au bord de l’eau.

– La brosse : la fameuse brosse à chiendent, aucune tâche ne doit lui résister.

Certains lavoirs étaient équipés de cheminées pour produire la cendre nécessaire au blanchiment du linge.

Généralement le lavoir est un espace public, un lieu de vie réservé aux femmes comme le café du village l’est aux hommes. C’est au XVIIIe siècle que l’on construit la première génération de lavoirs dont l’architecture va s’améliorer avec la loi de 1851 sur l’hygiène. Il est souvent couvert et fermé pour protéger les lavandières des intempéries. Situé naturellement à proximité d’une source en eau, il est généralement composé de plusieurs bassins, la fontaine, puis le rinçoir (où on dégage le linge des restes de saleté et de savon), le lavoir, a bien souvent un abreuvoir en aval destiné aux animaux. Le lavoir est souvent couvert de petites tuiles plates en terre cuite, son bassin est rectangulaire, ses margelles sont en pierre de taille.

Bonne découverte du lavoir couvert de Selins GPS 47.12445, 3.6089

Selins est un hameau de la commune de Bazolles du département de la Nièvre de la région Bourgogne-Franche-Comté.

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Découverte du lavoir du village de Bazolles.

Découverte de l’église de la commune de Bazolles.

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Nièvre Pierre. menhir. Dolmen ,

Table de pierre du domaine de Poujeux une curiosité

Table de pierre du domaine de Poujeux – Une curiosité privée

Cette table de pierre est située en bordure de la belle propriété du domaine de Poujeux, elle est placée au croisement de la départementale 256 et du chemin communal C9 en direction de Jailly. Propriété privée pas de visite.

La table est visible de la route. C’est une imposante table en pierre de plan rectangulaire placée dans de la végétation. Son imposant plateau repose sur quatre blocs, autour de celle-ci des pierres semblent être là en guise de bancs. Une originale curiosité.

Les mégalithes sont des monuments en pierre qui témoignent des acquis technologiques et du degré d’organisation sociale d’une civilisation.

Quel est le rôle des mégalithes ?
De nombreux chercheurs s’accordent à dire que ces mégalithes ont eu de multiples fonctions : sociales, culturelles, funéraires, religieux, astronomiques, artistiques…

À travers les siècles, ils ont fait l’objet de nombreuses légendes.

Les Églises et les pouvoirs politiques ont souvent tenté de neutraliser les pouvoirs qu’on leur attribuait en les enfouissant ou en les dissimulant dans d’autres constructions, pire en les brisants !

Bonne découverte de la table de pierre du domaine privée de Poujeux GPS 47.14923, 3.59253

Bazolles est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

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Bonne découverte du Monument aux morts de la commune de Bazolles

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Nièvre Repères de nivellement , ,

Le repère de nivellement de Baye un patrimoine

Le repère de nivellement de Baye – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

Le repère de nivellement de baye est situé en bordure du canal du Nivernais sur l’ancien pavillon des ingénieurs, construit en 1785, qui est situé au départ du chemin de halage du canal du Nivernais.

Nous pouvons à peine distinguer les écritures sur le médaillon. La plaquette altitudinale en aluminium fixée au centre du repère de type médaillon n’est plus présente, une autre plaquette a été placée au-dessus de celui-ci, sur laquelle figure l’altitude de 263.20 mètres. L’altitude varie au fil du temps, le niveau de la mer est changeant dû fait de la montée de celle-ci.

Les repères de nivellement sont des repère principalement en fonte scellé par du ciment sur un support vertical stable et surtout pérenne, cela peut être un mur, un rocher, un pont, un bâtiment, une église etc. Il est placé et fixé à une cinquantaine de centimètres environ au-dessus du sol. Il nous donne l’altitude de son sommet. Le repère de nivellement est mis en place par un géomètre.

Ce sont des repères fixes destinés à faciliter les différents travaux d’urbanisme : pavage, voirie, distribution d’eau, chemins de fer etc. Les plus courant sont les repères de type médaillon d’un diamètre de 7 cm.

Les repères de nivellement comportent des plaquettes où figure un matricule ou une altitude.

Ces renseignements présentent un intérêt esthétique et patrimonial, ne sont plus beaucoup d’actualité. Pour connaître le matricule et l’altitude d’un repère de nivellement, il faut consulter sa signalétique.
Au centre des repères de type médaillon l’altitude. Le matricule et l’altitude exacte arrondie au mètre, dans un but d’information d’un public non technicien.
Certains repère ne sont pas munis de plaquettes avec indications ils font l’objet des mêmes mesures de conservation.

Voici un repère de nivellement récent de type médaillon muni d’une plaquette altitudinale. L’altitude d’un repère de nivellement est susceptible d’évoluer au cours du temps. Pour éviter de changer la plaquette altitudinale à chaque opération de nivellement et inciter à utiliser l’altitude la plus à jour, disponible sur la fiche signalétique du repère, l’altitude marquée sur le repère est arrondie au mètre.

Il existe différents repères de nivellement : « Repère Bourdalouë (diamètre 12,5 cm), console, médaillon (diamètre 7 cm), boule ».

Bonne découverte du repère de nivellement de Baye GPS 47.16391, 3.62101

Baye est un hameau de la commune française de Bazolles située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

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Un clic pour une vidéo sur le Sentier du Héron Cendré.

Découverte des étangs de Baye et Vaux sentier martin pêcheur.

Découverte des étangs de Baye et Vaux sentier du Héron Cendré.

Découverte des étangs de Baye et Vaux sentier de la Libellule.

Découverte des étangs de Vaux et de Baye – Plan d’eau.

Découverte de la base Fluviale de Baye du canal du Nivernais.*

  • repère de nivellement de Baye
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Canal Canal du Nivernais Nièvre ,

La maison éclusière de baye un beau patrimoine

La maison éclusière de Baye – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

La maison éclusière de baye est la n°1, est la première du bief de partage du canal du Nivernais. Cet important bief permet de relier d’un côté le canal latéral à la Loire (le versant Loire) et de l’autre côté l’Yonne (le versant Seine). Elle est située en bordure du canal et datée de 1785.

Une imposante maison éclusière de plan rectangulaire. Cette maison sert de logement de fonction aux éclusiers. La maison éclusière est située sur la rive droite.

Elle est édifiée principalement en moellon enduit et couverte d’une toiture à deux pans en petites tuiles plates en terre cuite de la région. En façade, elle est éclairée par trois rangées de baies rectangulaires et d’une lucarne centrale. Elle possède un étage et des combles aménagés. Un jardin est situé en face du bâtiment. La maison éclusière du site de Baye a été édifiée à la fin du VIIIe siècle en 1785.

Le nombre de maisons éclusières n’est pas égale à celui des écluses elles sont cependant assez voisines pour permettre qu’un seul éclusier puisse suffire à la manœuvre de plusieurs écluses.

 (Rapport au roi sur la situation des canaux au 31 mars 1823, par Jacques-Joseph Corbière, Paris : Imprimerie royale, avril 1823, p. 18).

La dépense d’une maison éclusière ne doit pas excéder 2,500 à 3,000 francs, cette contribution pour les maisons éclusières situées au bord des canaux appartenant à l’État et, destinées au logement des gardiens chargés de la conservation des écluses, est, comme celles pour les bacs, canaux, et francs bords à la charge de la Régie.
— (« Code du droit de la navigation intérieure : Attributions de la Régie (article 4 de l’arrêté du 5 germinal an XII) », dans Codes des contributions indirectes, éditées par MM. Saillet & Olibo, Lyon : Imprimerie de Pommet, 1847, p. 779).

Le canal du Nivernais est un canal, traversant le département de la Nièvre, assurant une bonne navigation même quand les rivières, plus ou moins sauvages comme l’Aron ne sont pas navigable, à cause de manque d’eau ou de trop grand courant.

Le canal est aujourd’hui réservé à la navigation de plaisance, beaucoup de plaisanciers le considèrent comme étant l’un des plus beaux canaux d’Europe, dont l’attrait est renforcé par la présence de remarquables ouvrages d’art d’époque (voûtes, tunnels, écluses, pont-levis).

Découvrez le territoire du flottage et les techniques ingénieuses qui étaient utilisées à l’époque pour acheminer le bois de chauffage du Morvan à la Capitale. La verdure du Canal du Nivernais dissimule des merveilles : une promenade en bateau vous permettra de les découvrir.  Un joli petit coin ou canaux et rivières se croisent. D’une longueur de 174 km, de Saint-Léger-des-Vignes, au sud de la Nièvre, à Auxerre, le canal du Nivernais se compose de 116 écluses : 35 situées sur le versant Loire et 81 sur le versant Seine.

Le canal comporte deux pont-aqueduc, le premier enjambe l’Aron en amont de l’écluse de Mingot et l’autre situé à en amont de l’écluse de Roche entre Cercy-la-Tour et Decize enjambe l’Andarge.

Bonne découverte de  » La maison éclusière de baye  » Écluse N°1de Baye GPS 47.16382, 3.6204

Bazolles est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

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Bonne découverte du Monument aux morts de la commune de Bazolles

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