Églises Nièvre

Église de Pougues-les-Eaux un beau patrimoine

Église de Pougues-les-Eaux – Église Saint-Léger – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne Franche-Comté.

L’église de Pougues-les-Eaux est situé sur la place de l’église le long de la départementale 8 .

C’est une paroissiale, placée sous le vocable de Saint-Léger, elle est datée de la fin du XIe siècle et des XIe – XVe – XIXe siècles.

Son clocher carré, est refait au XVe siècle, avec l’ajout de baies de style gothiques simples, il est placé au dessus de la coupole, il est coiffé par une toiture en ardoise.

La paroisse est fondée en 1061 par Hugues II, évêque de Nevers. Le Tympan est daté du XIXe siècle. L’ église est de plan en croix.

Pougues-les-Eaux fait partie du groupement de paroisses de Nevers Nord.

Jusqu’au XIe siècle, la ville possède peu d’importance. La paroisse est créée en 1061 par Hugues II, évêque de Nevers. À mi chemin de Nevers et la Charité sur Loire.

L’église est en plan en croix, et terminée par trois absides en cul de four, percées de fenêtres cintrées la principale abside est à pans coupés, le chœur et bras voûtés en berceau, les arcatures sont cintrées sur colonnettes appliquées aux parois du chœur.

Elle possède une coupole centrale, sa nef est plafonnée, les arcs doubleaux sont cintrés, les colonnes sont bien engagées avec des chapiteaux de feuilles d’eau.

La porte d’entrée est moderne ses contre forts sont plats, son tympan est fait en pierre de taille blanche calcaire de la région, il est sculpté. L’église est épaulé par des contreforts plats.

Saint Léger ou Léger d’Autun ou Léodegard – francisation du germanique Leudgari, de « leud » et « gari » – est un évêque martyr du VIIᵉ siècle qui a joué un rôle politique important dans les soubresauts de la monarchie mérovingienne finissante.

Pougues-les-Eaux est une commune française, située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne Franche-Comté.

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Découverte de la visite de la station thermale.

Découverte de la station Thermale de Pougues les Eaux – Le Parc Thermal.

Découverte du Monument aux morts de Pougues les Eaux

Découverte des Vitraux de l’Église de Pougues les Eaux

Découverte de la Fontaine de Pougues les Eaux

Bonne découverte de l’ Église de Pougues-les-Eaux  (église Saint Léger) GPS 47.07443, 3.10104

  • église de Pougues les eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues les Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
  • Église de Pougues-les-Eaux
Girouettes Nièvre

Girouette d’artisan maçon un patrimoine

Girouette d’artisan maçon – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche Comté.

Girouette d’artisan maçon située rue des Morins départementale 254 à Pougues-les-Eaux. Elle représente une scène du travail d’un maçon. Une girouette colorée.

Les girouettes du Nivernais.

Une girouette c’est un dispositif généralement métallique, principalement en hauteur et plus souvent placé sur un toit. La girouette est constituée d’un élément rotatif monté sur un axe vertical fixe.

Le terme français est issu d’un dialecte de la Loire guiroie, par déformation populaire à partir du verbe girer « tourner » deviens au fil du temps girouette tirer du vocabulaire marin girer les proues réinterprétées en -ouette. Les « ornements de toiture ».

Au IXe siècle, le pape Nicolas Ier décide de rappeler aux chrétiens la phrase de Jésus à Pierre : « Avant que le coq chante, tu m’auras renié trois fois » en installant un coq au sommet des clochers des cathédrales, des églises, souvent couronnés d’une belle girouette.

Pendant le Moyen Âge, il n’était pas permis à tout le monde de placer des girouettes sur les toitures des habitations. Le château, seul avec l’église, pouvait posséder des girouettes.

La girouette seuls les seigneurs pouvaient autrefois placer sur leur logis une girouette. Il existait un « droit de girouette » et la coutume stipule qu’elles sont « en pointe comme les pennons, pour les simples chevaliers, et carrées comme les bannières, pour les chevaliers d’un rang supérieur ».

La Révolution Française de 1791 proclamant l’abolition des privilèges de l’Ancien Régime entraîna la fin de cette prérogative des nobles d’arborer des girouettes. « Le droit seigneurial et exclusif d’avoir des girouettes sur les maisons est aboli et il est libre à chacun d’en placer à son gré et dans telle forme qu’il jugera à propos ».

Le droit de girouette, libéré des privilèges nobiliaires, se répandit chez les bourgeois, les artisans et les formes de ces objets du vent se diversifieront de même que les thèmes traités : chimères, gueules béantes, animaux mythiques et fantastiques firent leur apparition sur les toits. Devenue ornementales, les girouettes deviennent de véritables œuvres d’art qui rappellent le statut du propriétaire du lieu, et par la même le métier, la passion etc…

Dès lors elles permettent aux voyageurs de découvrir les girouettes-enseignes : « du forgeron, du laboureur avec son attelage, de l’éleveur, du relais avec son cheval cabré ou la calèche, du meunier avec son moulin, du vigneron, du tonnelier de la taverne…

Un « quidam » va dénoncer, par le biais d’un acte de notoriété déposé auprès du juge ordinaire royal de la vicomté de Murat, « les particuliers de ceste ville et vicomté de Murat, possédans de maizon en rotture, ont au faiste de leurs maizons des giroettes ». Daté du 13 novembre 1680.

Dans le dictionnaire raisonné de l’architecture française (1854 à 1868) de Viollet-le-Duc, l’objet nommé girouette est décrit comme « plaque de fer-blanc qui est mobile sur une queue ou pivot, qu’on met sur les clochers, les pavillons, les tours et autres édifices, pour connaître de quel côté le vent souffle ».

Dès le XIXe siècle la pose de la girouette indique que la toiture de la maison est achevée, elle permettait aussi d’indiquer au passant les maisons des notables : « forgerons, artisans, notaires, médecins, musiciens, etc. ».

Bonne découverte de la Girouette d’artisan maçon GPS 47.07355, 3.09737

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Découverte du Monument aux morts de Pougues les Eaux.

Découverte des Vitraux de l’Église de Pougues les Eaux.

Découverte de la Fontaine de Pougues les Eaux.

Découverte de l’Église de Pougues les Eaux.

  • Girouette d'artisan maçon un patrimoine
  • Girouette d'artisan maçon un patrimoine
  • Girouette d'artisan maçon un patrimoine
  • Girouette d'artisan maçon un patrimoine
  • Girouette d'artisan maçon un patrimoine
Croix Nièvre

Croix du château des Métairies un patrimoine

Croix du château des Métairies – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté.

La croix du château des Métairies est une croix de carrefour située entre la rue des Morins, des Montmenades prolongées et la départementale 254 (rue des Sources). Une croix monumentale en fer forgé de couleur blanche.

Les croix constituent une part importante du petit patrimoine de la Nièvre.

Les termes croix viennent du mot latin crux qui a le sens de « poteau ». Son usage en tant que symbole religieux remonte plusieurs siècles avant l’époque du Christ et a une valeur universelle. Le mot « calvaire » vient du latin calvarium, traduction de l’araméen Golgotha, voulant dire lieu où le Christ a été crucifié.

Une croix est généralement tournée vers l’ouest, car selon la tradition, le Christ est mort à l’ouest, face au soleil couchant. Depuis des millénaires, cette symbolique est aussi tourné vers le soleil couchant, attendant qu’il réapparaisse le lendemain.

Depuis le IVe siècle, la croix est imposée comme symbole du Christianisme. L’usage d’ériger des croix aux bords des chemins et aux carrefours des villes et villages est très ancien. C’est ainsi que nos ancêtres devenus chrétiens commencent à les ériger, en l’honneur du vrai Dieu Jésus Christ, Sauveur du Monde.

Les croix et les calvaires ont pris la place des ex voto païens. Avec le soutien des fidèles riches, les paroisses se lancent dans l’édification de calvaires. Ce sont des signes extérieurs de richesse à la gloire de Dieu. Un phénomène de concurrence et d’émulation entre bourgs et villages intervient.

Certains de ces monuments, construits au XIXe siècle, sont des souvenirs des missions, périodes marquées par des confessions massives, par de nombreux offices au cours desquels, interviennent les prédicateurs qui exhortaient les habitants du village à une plus grande foi.

Difficile de retracer l’histoire des calvaires, beaucoup d’entre eux sont des monuments commémoratifs. Ils sont à l’endroit où s’est produit un événement exceptionnel, un événement dont l’issue fut funeste ou heureuse.

 Les grandes épidémies comme la peste ont donné lieu à l’érection de croix pour remercier le ciel d’avoir épargné un village, une famille.

La Crucifixion est très fréquemment représentée dans les églises catholiques et orthodoxes par un ou plusieurs crucifix de tailles diverses. Il en est de même des calvaires, des maisons habitées par un croyant, des cimetières, etc. Dans les églises orthodoxes, la croix est à 6 ou 8 branches contre 4 à 6 chez les catholiques.

Un crucifix a pour l’essentiel la forme d’une croix latine, dont la barre verticale est allongée vers le bas et courte vers le haut, et pouvant porter dans cette partie supérieure le sigle INRI, acronyme de Jésus de Nazareth, Roi des Juifs.

Une statuette ou image de Jésus est fixée à la croix, montrant les clous dans ses mains et ses pieds et une blessure dans son côté gauche, en référence aux récits de la Passion. Un calvaire se définit par une croix complexe avec des statues de personnages nombreux.

Rien à voir avec les milliers de crucifix qui jalonnent nos routes à la croisée des chemins qui ne sont pas du tout des calvaires, mais simplement des croix avec ou sans le Christ et des croix de mission.

Une « croix d’évangélisation » qui perpétue la tradition judéo-chrétienne. L’annonce orale des douze Apôtres vers les quatre points cardinaux y est symbolisée par trois perles sur chaque bras de la croix ; la perle centrale représentant le Verbe en Marie dans l’Église-mère de Jérusalem avec les quatre petites perles des quatre textes de référence évangélique. À minima le calvaire est une croix avec Jésus crucifié.

Mot d’origine latine qui signifie : “crâne” correspondant à l’araméen “Golgotha”. C’est le nom de la colline située à l’extérieur de la ville de Jérusalem où l’on exécutait les condamnés à mort et sur laquelle le Christ fut crucifié.

Bonne découverte de la Croix du château des Métairies GPS 47.07415, 3.09397

Pougues-les-Eaux est une commune française, située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté.

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Découverte de la   Station Thermale.

Découverte du Monument aux morts de Pougues les Eaux.

Découverte des Vitraux de l’Église de Pougues les Eaux.

Découverte de la Fontaine de Pougues les Eaux.

Découverte de l’Église de Pougues les Eaux.

  • Croix du château des Métairies
  • Croix du château des Métairies
  • Croix du château des Métairies
  • Croix du château des Métairies
Nièvre Puits ,

Le puits de Clamour un patrimoine

Le puits de Clamour – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté.

Le puits de Clamour est placé aux abords de la départementale 174. Un puits circulaire très proche du sol, il possède une couronne en pierre de taille. Son puisard est protégé par une magnifique grille en fer forgé, son support mécanisme en fonte moulé proviens des usines métallurgique f. Durand de Fourchambault.

Dite « forges de Fourchambault », elles deviennent fonderie Magnard, puis fonderie Durand, actuellement u musée.

Masse A., Canton de Pougues, monographies Nivernaises. Nevers : Th. Ropiteau Éditeur, 1912.

Les Puits un important patrimoine vernaculaire de la Nièvre

Autrefois, bien avant que l’eau n’arrive au robinet de nos foyers, les puits étaient avec les fontaines et les cours d’eau les seuls lieux d’alimentation en eau potable.

Les puits et les fontaines sont souvent situés au centre d’une place, ils constituaient un lieu majeur de la sociabilité villageoise, un lieu d’échanges, de discussions et parfois de conflits, vers lequel convergeaient principalement les ménagères et les enfants, au moins deux fois par jour, matin et soir.

L’eau des puits était utilisée comme point d’eau autour des maisons, et pour arroser les jardins et les cultures. Les premiers puits étaient probablement de très simples trous non protégés des éboulements et qui n’ont pas résisté au temps et de ce fait ont disparu.

Jusqu’aux années 60, le mécanisme des puits était construit en bois, dès la révolution industrielle, fin du XIXe siècle, le mécanisme est fabriqué en fer et les puits fonctionnent désormais à l’aide d’un système mécanique. Un puits à eau est le résultat d’un terrassement vertical, par forage, havage, ou manuel permettant l’exploitation d’une nappe d’eau souterraine, un aquifère.

L’eau est remontée au niveau du sol grâce à un seau placé au bout d’une corde, ou par pompage. Les puits sont très divers, en raison de leur mode de creusement, leur profondeur, leur volume d’eau, ou leur équipement.

Les témoignages archéologiques anciens datent du Néolithique, et ils sont en Europe localisés sur le pourtour de la Méditerranée ou en Europe centrale et Europe de l’Est. Le plus ancien puits du monde a été découvert à Chypre sur le site de Kissonerga,  il est daté du Xe au IXe millénaire. Les premiers puits étaient probablement de très simples trous non protégés des éboulements et qui n’ont pas résisté au temps et de ce fait ont disparu.

Sur les places des villes, on creusait de larges puits, si la situation des localités ne permettait pas l’établissement d’une fontaine.  Les puits placés extérieurement sur la voie publique étaient d’une grande simplicité.

Ceux qui s’ouvraient dans les églises où les cloîtres étaient souvent très richement ornés. Leurs margelles, les supports des poulies, devenaient un motif de décoration.

 Il existe encore dans quelques villes de France des puits ayant conservé leurs armatures de fer des XVe et XVIe siècles. Les constructeurs du moyen âge ne procédaient pas autrement que nous pour percer des puits. Creusant un trou cylindrique, ils y plaçaient un rouet de bois de chêne, sur lequel on élevait le mur en tour ronde. Déblayant peu à peu sous le rouet, celui-ci descendait avec la portion de maçonnerie qu’il supportait ; on complétait, à mesure de l’abaissement du rouet, cette maçonnerie cylindrique dans la partie supérieure. (Dictionnaire Raisonne de l’Architecture Française – Volume 7- Viollet-le-Duc)

Le puits est le résultat d’un terrassement vertical, par forage manuel, qui permet l’exploitation de la nappe d’eau souterraine, un aquifère. L’eau peut être remontée au niveau du sol grâce à un seau ou une pompe, manuelle. Les puits sont très divers, que ce soit par leur mode de terrassement, de réalisation, de leur profondeur, de leur volume d’eau, ou de l’équipement qu’il possède.

En France, le volume d’eau souterraine est estimé à 2000 milliards de mètres cubes dont 100 milliards de m3/an s’écoulent vers les sources et les cours d’eau. Environ 7 milliards de m3/an sont prélevés dans les nappes d’eau souterraine, par captage des sources, puits ou forages ; la moitié est utilisée pour l’eau potable.

Suivant les nappes, les volumes soutirés par année (par les exploitations) sont de l’ordre de 1 à 10% de leur débit naturel mais, dans certains cas, ce pourcentage peut atteindre 50%, voire 100%.

Bonne découverte:  » Le puits de Clamour  » GPS 47.07247, 3.03873

Germigny-sur-Loire est une commune française, située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté.

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Découverte de la station thermale de Pougues les Eaux.

  • Le puits de Clamour
  • Le puits de Clamour
  • Le puits de Clamour
  • Le puits de Clamour
Croix Nièvre

La croix du cimetière de Germigny-sur-Loire un patrimoine

La croix du cimetière de Germigny-sur-Loire – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté.

La croix du cimetière de Germigny-sur-Loire est située contre le mur du fond, au centre. Une croix en fonte moulée sur une belle stèle en pierre de taille calcaire, qui repose sur une pyramide de deux marches. cette croix a semble-t-il remplacé une plus ancienne.

Les croix constituent une part importante du petit patrimoine de la Nièvre.

Les termes croix viennent du mot latin crux qui a le sens de « poteau ». Son usage en tant que symbole religieux remonte plusieurs siècles avant l’époque du Christ et a une valeur universelle. Le mot « calvaire » vient du latin calvarium, traduction de l’araméen Golgotha, voulant dire lieu où le Christ a été crucifié.

Une croix est généralement tournée vers l’ouest, car selon la tradition, le Christ est mort à l’ouest, face au soleil couchant. Depuis des millénaires, cette symbolique est aussi tourné vers le soleil couchant, attendant qu’il réapparaisse le lendemain.

Depuis le IVe siècle, la croix est imposée comme symbole du Christianisme. L’usage d’ériger des croix aux bords des chemins et aux carrefours des villes et villages est très ancien. C’est ainsi que nos ancêtres devenus chrétiens commencent à les ériger, en l’honneur du vrai Dieu Jésus Christ, Sauveur du Monde.

Les croix et les calvaires ont pris la place des ex voto païens. Avec le soutien des fidèles riches, les paroisses se lancent dans l’édification de calvaires. Ce sont des signes extérieurs de richesse à la gloire de Dieu. Un phénomène de concurrence et d’émulation entre bourgs et villages intervient.

Certains de ces monuments, construits au XIXe siècle, sont des souvenirs des missions, périodes marquées par des confessions massives, par de nombreux offices au cours desquels, interviennent les prédicateurs qui exhortaient les habitants du village à une plus grande foi.

Difficile de retracer l’histoire des calvaires, beaucoup d’entre eux sont des monuments commémoratifs. Ils sont à l’endroit où s’est produit un événement exceptionnel, un événement dont l’issue fut funeste ou heureuse.

 Les grandes épidémies comme la peste ont donné lieu à l’érection de croix pour remercier le ciel d’avoir épargné un village, une famille.

La Crucifixion est très fréquemment représentée dans les églises catholiques et orthodoxes par un ou plusieurs crucifix de tailles diverses. Il en est de même des calvaires, des maisons habitées par un croyant, des cimetières, etc. Dans les églises orthodoxes, la croix est à 6 ou 8 branches contre 4 à 6 chez les catholiques.

Un crucifix a pour l’essentiel la forme d’une croix latine, dont la barre verticale est allongée vers le bas et courte vers le haut, et pouvant porter dans cette partie supérieure le sigle INRI, acronyme de Jésus de Nazareth, Roi des Juifs.

Une statuette ou image de Jésus est fixée à la croix, montrant les clous dans ses mains et ses pieds et une blessure dans son côté gauche, en référence aux récits de la Passion. Un calvaire se définit par une croix complexe avec des statues de personnages nombreux.

Rien à voir avec les milliers de crucifix qui jalonnent nos routes à la croisée des chemins qui ne sont pas du tout des calvaires, mais simplement des croix avec ou sans le Christ et des croix de mission.

Une « croix d’évangélisation » qui perpétue la tradition judéo-chrétienne. L’annonce orale des douze Apôtres vers les quatre points cardinaux y est symbolisée par trois perles sur chaque bras de la croix ; la perle centrale représentant le Verbe en Marie dans l’Église-mère de Jérusalem avec les quatre petites perles des quatre textes de référence évangélique. À minima le calvaire est une croix avec Jésus crucifié.

Mot d’origine latine qui signifie : “crâne” correspondant à l’araméen “Golgotha”. C’est le nom de la colline située à l’extérieur de la ville de Jérusalem où l’on exécutait les condamnés à mort et sur laquelle le Christ fut crucifié.

Bonne découverte de La croix du cimetière de Germigny-sur-Loire GPS 47.07758, 3.03946

Germigny-sur-Loire est une commune française, située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté.

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Découverte de la station thermale de Pougues les Eaux.
  • La croix du cimetière de Germigny-sur-Loire
  • La croix du cimetière de Germigny-sur-Loire
  • La croix du cimetière de Germigny-sur-Loire
  • fonte
  • fonte
  • La croix du cimetière de Germigny-sur-Loire
Croix Nièvre

La croix de Germigny-sur-Loire un patrimoine

La croix de Germigny-sur-Loire – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

La croix de Germigny-sur-Loire est située en bordure de la départementale 174 en face de l’église Saint-Germain d’Auxerre du village de Germigny-sur-Loire. Une croix en fonte moulée placée sur un piédestal élevé en briquette rouge plaquée aux angles de pierre calcaire jaune.

Les croix constituent une part importante du petit patrimoine de la Nièvre.

Les termes croix viennent du mot latin crux qui a le sens de « poteau ». Son usage en tant que symbole religieux remonte plusieurs siècles avant l’époque du Christ et a une valeur universelle. Le mot « calvaire » vient du latin calvarium, traduction de l’araméen Golgotha, voulant dire lieu où le Christ a été crucifié.

Une croix est généralement tournée vers l’ouest, car selon la tradition, le Christ est mort à l’ouest, face au soleil couchant. Depuis des millénaires, cette symbolique est aussi tourné vers le soleil couchant, attendant qu’il réapparaisse le lendemain.

Depuis le IVe siècle, la croix est imposée comme symbole du Christianisme. L’usage d’ériger des croix aux bords des chemins et aux carrefours des villes et villages est très ancien. C’est ainsi que nos ancêtres devenus chrétiens commencent à les ériger, en l’honneur du vrai Dieu Jésus Christ, Sauveur du Monde.

Les croix et les calvaires ont pris la place des ex voto païens. Avec le soutien des fidèles riches, les paroisses se lancent dans l’édification de calvaires. Ce sont des signes extérieurs de richesse à la gloire de Dieu. Un phénomène de concurrence et d’émulation entre bourgs et villages intervient.

Certains de ces monuments, construits au XIXe siècle, sont des souvenirs des missions, périodes marquées par des confessions massives, par de nombreux offices au cours desquels, interviennent les prédicateurs qui exhortaient les habitants du village à une plus grande foi.

Difficile de retracer l’histoire des calvaires, beaucoup d’entre eux sont des monuments commémoratifs. Ils sont à l’endroit où s’est produit un événement exceptionnel, un événement dont l’issue fut funeste ou heureuse.

 Les grandes épidémies comme la peste ont donné lieu à l’érection de croix pour remercier le ciel d’avoir épargné un village, une famille.

La Crucifixion est très fréquemment représentée dans les églises catholiques et orthodoxes par un ou plusieurs crucifix de tailles diverses. Il en est de même des calvaires, des maisons habitées par un croyant, des cimetières, etc. Dans les églises orthodoxes, la croix est à 6 ou 8 branches contre 4 à 6 chez les catholiques.

Un crucifix a pour l’essentiel la forme d’une croix latine, dont la barre verticale est allongée vers le bas et courte vers le haut, et pouvant porter dans cette partie supérieure le sigle INRI, acronyme de Jésus de Nazareth, Roi des Juifs.

Une statuette ou image de Jésus est fixée à la croix, montrant les clous dans ses mains et ses pieds et une blessure dans son côté gauche, en référence aux récits de la Passion. Un calvaire se définit par une croix complexe avec des statues de personnages nombreux.

Rien à voir avec les milliers de crucifix qui jalonnent nos routes à la croisée des chemins qui ne sont pas du tout des calvaires, mais simplement des croix avec ou sans le Christ et des croix de mission.

Une « croix d’évangélisation » qui perpétue la tradition judéo-chrétienne. L’annonce orale des douze Apôtres vers les quatre points cardinaux y est symbolisée par trois perles sur chaque bras de la croix ; la perle centrale représentant le Verbe en Marie dans l’Église-mère de Jérusalem avec les quatre petites perles des quatre textes de référence évangélique. À minima le calvaire est une croix avec Jésus crucifié.

Mot d’origine latine qui signifie : “crâne” correspondant à l’araméen “Golgotha”. C’est le nom de la colline située à l’extérieur de la ville de Jérusalem où l’on exécutait les condamnés à mort et sur laquelle le Christ fut crucifié.

Bonne d&couverte de La croix de Germigny-sur-Loire GPS 47.08069, 3.03729

Germigny-sur-Loire est une commune française, située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté.

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Découverte de la station thermale de Pougues les Eaux.
  • La croix de Germigny-sur-Loire
  • La croix de Germigny-sur-Loire
  • La croix de Germigny-sur-Loire