Mémoire Monuments aux morts Nièvre

Monument aux morts de Germigny-sur-Loire un hommage

Monument aux morts de Germigny-sur-Loire – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

Le Monument aux morts de Germigny-sur-Loire est situé au centre du cimetière situé le long de la départementale 174. C’est un pilier commémoratif représenté par un obélisque sur socle en pierre.

Sur la face avant du monument il est inscrit: » HOMMAGE AUX ENFANTS DE GERMIGNY MORTS POUR LA FRANCE GUERRE 1914-1918″

1914 – 1918

Commandant DUCROT Joseph – Lieutenant PAILLARD Louis – MASLOUX Marcel – PERRIAULT Louis – POUPON René – SÈVES Émile – RAYMOND Jean – COLIN Philippe – MALLET Pierre – MALLET Charles – DANJEAN Albert – BARONNET Louis – BOUCHASSON Louis – BLONDELET Louis – COMOY Auguste – MOREAU Georges – JOYOT Jules -BROSSARD Joseph – MARTINOT Louis – DUBOIS Albert.

Un monument aux morts est un monument érigé pour commémorer et honorer les soldats, et plus généralement les personnes, tuées ou disparues par faits de guerre. Il en existe de plusieurs types : les cénotaphes (monuments mortuaires n’abritant aucun corps), généralement dans le centre d’une ville ou d’un village, mais qui ont aussi été, après la Première Guerre mondiale, élevés dans les entreprises, les écoles, les foyers fréquentés par les disparus de leur vivant ; les mémoriaux, monuments nationaux élevés sur les champs de bataille (Douaumont) où les cimetières militaires abritent les tombes de soldats, parfois de centaines de milliers d’entre eux. La Première Guerre mondiale est un conflit militaire impliquant dans un premier temps les puissances européennes et s’étendant ensuite à plusieurs continents de 1914 à 1918 (bien qu’ayant diplomatiquement perduré jusqu’en 1923 pour les pays concernés par le traité de Lausanne, le dernier à avoir été signé, le 24 juillet 1923).

La récente loi no 2012-273 du 28 février 2012 fixe les règles en matière d’inscription de noms aux monuments aux Morts. « Lorsque la mention “Mort pour la France” a été portée sur son acte de décès. L’inscription du nom du défunt sur le monument aux Morts de sa commune de naissance ou de dernière domiciliation, ou sur une stèle placée dans l’environnement immédiat de ce monument est obligatoire.

La demande d’inscription est adressée au maire de la commune choisie par la famille ou, à défaut, par les autorités militaires, les élus nationaux, les élus locaux, l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre par l’intermédiaire de ses services départementaux ou les associations d’anciens combattants et patriotiques ayant intérêt à agir. »

Au lendemain de la guerre, plus de 30 000 monuments aux Morts sont érigés sur tout le territoire, la majorité entre 1920 et 1925. Toutes les familles sont touchées, une génération entière d’hommes est perdue. Pour la première fois de son histoire, le pays a mobilisé 7 900 000 soldats, 5 000 000 ont participé directement aux combats. Les conséquences sont désastreuses. Le 11 novembre 1918, on compte 1 375 000 morts et plus de 3 000 000 blessés et mutilés.

Bonne découverte du Monument aux morts de Germigny-sur-Loire GPS 47.07753, 3.03908

Germigny-sur-Loire est une commune française, située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté.

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Découverte de la station thermale de Pougues les Eaux.

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Commémoratif Mémoire Nièvre

La stèle du Général Ducrot un beau patrimoine

La stèle du Général Ducrot – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

La stèle du Général Ducrot est située dans le cimetière de Montigny sur Loire, en bordure de la départementale 174 .

Elle est placée en entrant sur la droite, une imposante stèle de plan carré, posée sur une dalle de béton, entourée de dix plots reliés par des chaînes en métal.

L’édifice est réalisé principalement en pierre de taille calcaire blanche. Une double porte métallique en permet l’accès, elle est éclairée par trois fenêtres avec vitraux.

Sur le haut de la stèle du Général Ducrot il est gravé:  » NE A NEVERS LE 24 FÉVRIER 1817 – MORT A VERSAILLES LE 16 AOUT 1882  » –  » AU GÉNÉRAL DUCROT SES AMIS « .

Auguste-Alexandre Ducrot est né à Nevers le 24 février 1817, il décède à Versailles le 16 août 1882, c’est un général français. Général de division, il a commandé le 1er corps d’armée à Sedan.

Il est promu lieutenant le 27 décembre 1840, capitaine le 11 février 1842, commandant le 27 septembre 1847, lieutenant-colonel le 8 avril 1851, colonel le 26 décembre 1853, général de brigade le 13 mars 1858, et général de Division le 7 juin 1865.

Un décret du 10 janvier 1878 lui retira le commandement du 8e corps, il se retira à Versailles.

Moniteur universel, il publia divers ouvrages militaires, dont un livre sur l’Algérie, un récit de la journée de Sedan, et une histoire en deux volumes de la défense de Paris.

Bonne découverte de La stèle du Général Ducrot GPS 47.07738, 3.03882

Germigny-sur-Loire est une commune française, située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté.

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Découverte de la station thermale de Pougues les Eaux.

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Châteaux Nièvre ,

Château des Métairies un beau patrimoine

Château des Métairies – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

Le château des Métairies est situé au 1 (10) Rue des Sources de Pougues-les-Eaux , un beau manoir de style néoclassique daté du XIXe siècle.

Ce beau manoir est composé d’un imposant corps de logis de plan rectangulaire, le bâtiment possède deux étages, le rez de chaussé est situé sur une cave, le dernier niveau est en charpente.

Le château est flanqué d’un pavillon octogonal à deux niveaux surmonté d’un toit pointu avec lanternon.

Sur chaque côté du bâtiment principal nous pouvons observer deux imposants pavillons de plan carré.

Ses toitures sont en ardoises. Le bâtiment est construit en pierre de taille calcaire, moellon enduit et briquettes de couleur rouge en façade.

Un escalier monumental permet d’accéder à l’entrée principale. Le château est situé sur un grand domaine, placé entre la rue des Morins, la départementale 254 et la la rue des Sources.

Une magnifique grille permet l’accès à cette propriété privée, que l’on peut à peine apercevoir de la route.

Bonne découverte du Château des Métairies un beau patrimoine GPS 47.07469, 3.09297

Pougues-les-Eaux est une commune française, située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté.

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Découverte de la   Station Thermale.

Découverte du Monument aux morts de Pougues les Eaux.

Découverte des Vitraux de l’Église de Pougues les Eaux.

Découverte de la Fontaine de Pougues les Eaux.

Découverte de l’Église de Pougues les Eaux.

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Colombiers Nièvre Pigeonnier - Colombier ,

Pigeonnier de Gravotte un patrimoine

Pigeonnier de Gravotte – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

Le pigeonnier de Gravotte est situé au carrefour de la rue de La Vernée et de la rue du Docteur fauché (départementale 8). Un haut pigeonnier de plan carré accolé a un grand bâtiment .

Les Colombiers et les Pigeonniers du Nivernais, un patrimoine bien présent dans notre région.

Un colombier est à l’époque féodale un édifice destiné à loger et à élever des pigeons. Le colombier, est l’héritier du columbarium romain, il est d’ailleurs nommé plus souvent pigeonnier.

Depuis le XVIIIe siècle, le terme de colombier peut désigner une forme de tour, indépendant des autres bâtiments, qui est de diverses formes : circulaire, carré, octogonale, rectangulaire.

Le colombier est souvent d’origine médiévale, tandis que le pigeonnier est plutôt contemporain.

La définition d’un pigeonnier selon Viollet-le-Duc : « Bâtiment destiné à contenir des troupes de pigeons et à leur permettre de pondre et de couver leurs œufs à l’abri des intempéries ».

L’intérieur du colombier, c’est l’espace imparti aux pigeons, il est principalement divisé en nichoirs aussi appelés boulins. Chaque boulin est le logement d’un couple de pigeons. (La fiente est une fumure recherchée.)

C’est le nombre de boulins qui indique la capacité du pigeonnier, c’était un signe extérieur de richesse, car le nombre de boulins est proportionnel à la surface des terres exploitées, possédées, il est difficile de dater ces bâtiments, les plus anciens colombiers sont du XIVe siècle, les pigeonniers des XVIIe-XVIIIe siècles, car après l’abolition des privilèges, lors de la révolution, de nombreux pigeonniers sont construits, beaucoup de pigeonniers datent donc du XIXe siècle.

Chaque boulin correspondait à la possession d’un arpent, carré (ou acre) de terre, c’est-à-dire 50 ares ou 5 000 m² multipliés par le nombre de boulins divisés par 2 = y hectares.

Le pigeonnier c’est aussi un signe de richesse, d’où certaines tricheries dans la comptabilité du nombre de boulins déclarés sont apparues, de façon à surestimer ses terres, car certains propriétaires malins rajoutaient de faux boulins pour faire croire qu’ils avaient beaucoup plus de terre afin de mieux marier leurs enfants, d’où l’origine de l’expression « se faire pigeonner ».

Les mutations agricoles des temps modernes, par l’introduction des cultures fourragères comme la betterave, ont condamné insensiblement l’intérêt nourricier et la rentabilité de l’élevage en colombier.

Dans un extrait d’« Un cours complet d’agriculture » d’Antoine Parmentier, tome douzième, p. 419-425, Marchant, 1805, on peut lire « […] que l’on peut donc considérer cet oiseau comme le meilleur sarcleur et le plus utile que le laboureur puisse employer, car, ce ne sont pas les herbes qu’il enlève, comme la main de l’homme qui en laisse les racines, c’est du principe de ces mauvaises herbes qu’il purge les terres, en ramassant les graines qui reviennent à leur surface pendant les différents labours, ou celles qui se sèment d’elles-mêmes dans les intervalles d’un labour à l’autre, il sait en débarrasser la terre, mieux qu’on ne ferait avec un crible. »

Pendant le moyen âge, la construction d’un colombier était un privilège réservé à la féodalité. Un colombier est construit en maçonnerie.

La construction d’un pigeonnier était donc une affaire importante. Tous les châteaux possédaient un ou plusieurs pigeonniers, les manoirs, demeures des chevaliers, petits châteaux sans tours ni donjons, pouvaient encore posséder un pigeonnier. Il n’est pas besoin de dire que les abbés, qui étaient tous seigneurs féodaux, et qui possédaient les établissements agricoles, les mieux exploités pendant le moyen âge, avaient des pigeonniers dans les cours des abbayes, dans les fermes qui en dépendaient, les prieurés et les obédiences. Les propriétaires de trente-six arpents avaient le droit de joindre à leur habitation, un pigeonnier en bois de seize pieds de hauteur et pouvant contenir seulement de soixante à cent vingt boulins. On entend par boulins du grec: bôlos, les trous pratiqués dans les colombiers et destinés à la ponte des œufs de pigeons.

Bonne découverte du Pigeonnier de Gravotte GPS 47.06251, 3.0963

Pougues-les-Eaux est une commune française, située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté.

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Découverte de la visite de la station thermale.

Découverte de la station Thermale de Pougues les Eaux – Le Parc Thermal.

Découverte du Monument aux morts de Pougues les Eaux

Découverte des Vitraux de l’Église de Pougues les Eaux

Découverte de la Fontaine de Pougues les Eaux

Découverte de l’Église de Pougues les Eaux

  • Pigeonnier de Gravotte
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Châteaux Nièvre , ,

Château de la Vernée un beau patrimoine

Château de la Vernée – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

Le Château de la Vernée est placé dans un parc naturel de 17 hectares, situé à 650 mètres de la Loire. Pour accéder au château en sortie de Pougues-Les-Eaux suivre le départementale 8 puis, prendre une petite route la « rue de la Vernée ».

Le château et ses dépendances sont édifiés au début du XIXe siècle, construit en 1875, le château prends le nom de la rivière qui passe sur ses terres.

Bâtit avec du silex de Hongrie et de la pierre de Loire, ses toitures sont en ardoise d’Angers. pour bâtir un joyau unique dans la région, à 650 mètres de son fleuve préféré, la Loire. Mr Gérard Vivès en est le propriétaire. (Gérard Vives est un acteur et humoriste français né en 1962).

Une belle propriété privée. Adresse : 524 Rue de la Vernée, 58320 Pougues-les-Eaux . Téléphone : 07 71 82 58 58 . Visite sur demande. Au Château vous pouvez célébrer mariages, réceptions privées ou professionnelles, cousinades, anniversaires etc..

La Nièvre regorge de châteaux sublimes à visiter, entre les châteaux de la Loire ou les châteaux emblématiques tel que le Château de Bazoches.

Bonne découverte du Château de la Vernée GPS 47.05997, 3.07271

Pougues-les-Eaux est une commune française, située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté.

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Découverte de la visite de la station thermale.

Découverte de la station Thermale de Pougues les Eaux – Le Parc Thermal.

Découverte du Monument aux morts de Pougues les Eaux

Découverte des Vitraux de l’Église de Pougues les Eaux

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Calvaires et croix Croix Nièvre ,

Croix du hameau de Prélichy un patrimoine.

Croix du hameau de Prélichy – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté.

Cette Croix du hameau de Prélichy est située en bordure de la départementale 146, la croix est en fer forgé, elle est fixée sur une imposante stèle en pierre. Les inscriptions sur celle-ci ne sont malheureusement plus lisibles. Au pied de la stèle a été déposée une faience représentant l’église de Pougues les Eaux (place st Léger).

Une large pierre placée devant cette croix servait de pierre des morts.

Les croix constituent une part importante du petit patrimoine de la Nièvre.

Les termes croix viennent du mot latin crux qui a le sens de « poteau ». Son usage en tant que symbole religieux remonte plusieurs siècles avant l’époque du Christ et a une valeur universelle. Le mot « calvaire » vient du latin calvarium, traduction de l’araméen Golgotha, voulant dire lieu où le Christ a été crucifié.

Depuis le IVe siècle, la croix est imposée comme symbole du Christianisme. L’usage d’ériger des croix aux bords des chemins et aux carrefours des villes et villages est très ancien. C’est ainsi que nos ancêtres devenus chrétiens commencent à les ériger, en l’honneur du vrai Dieu Jésus Christ, Sauveur du Monde.

Les croix et les calvaires ont pris la place des ex voto païens. Avec le soutien des fidèles riches, les paroisses se lancent dans l’édification de calvaires. Ce sont des signes extérieurs de richesse à la gloire de Dieu. Un phénomène de concurrence et d’émulation entre bourgs et villages intervient.

Certains de ces monuments, construits au XIXe siècle, sont des souvenirs des missions, périodes marquées par des confessions massives, par de nombreux offices au cours desquels, interviennent les prédicateurs qui exhortaient les habitants du village à une plus grande foi.

Difficile de retracer l’histoire des calvaires, beaucoup d’entre eux sont des monuments commémoratifs. Ils sont à l’endroit où s’est produit un événement exceptionnel, un événement dont l’issue fut funeste ou heureuse.

 Les grandes épidémies comme la peste ont donné lieu à l’érection de croix pour remercier le ciel d’avoir épargné un village, une famille.

La Crucifixion est très fréquemment représentée dans les églises catholiques et orthodoxes par un ou plusieurs crucifix de tailles diverses. Il en est de même des calvaires, des maisons habitées par un croyant, des cimetières, etc. Dans les églises orthodoxes, la croix est à 6 ou 8 branches contre 4 à 6 chez les catholiques.

Un crucifix a pour l’essentiel la forme d’une croix latine, dont la barre verticale est allongée vers le bas et courte vers le haut, et pouvant porter dans cette partie supérieure le sigle INRI, acronyme de Jésus de Nazareth, Roi des Juifs.

Une statuette ou image de Jésus est fixée à la croix, montrant les clous dans ses mains et ses pieds et une blessure dans son côté gauche, en référence aux récits de la Passion. Un calvaire se définit par une croix complexe avec des statues de personnages nombreux.

Rien à voir avec les milliers de crucifix qui jalonnent nos routes à la croisée des chemins qui ne sont pas du tout des calvaires, mais simplement des croix avec ou sans le Christ et des croix de mission.

Une « croix d’évangélisation » qui perpétue la tradition judéo-chrétienne. L’annonce orale des douze Apôtres vers les quatre points cardinaux y est symbolisée par trois perles sur chaque bras de la croix ; la perle centrale représentant le Verbe en Marie dans l’Église-mère de Jérusalem avec les quatre petites perles des quatre textes de référence évangélique. À minima le calvaire est une croix avec Jésus crucifié.

Mot d’origine latine qui signifie : “crâne” correspondant à l’araméen “Golgotha”. C’est le nom de la colline située à l’extérieur de la ville de Jérusalem où l’on exécutait les condamnés à mort et sur laquelle le Christ fut crucifié.

Bonne découverte de la Croix d hameau de Prélichy GPS 47.23144, 3.61838

Le hameau de Prélichy fait partie de la commune de Pazy située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté.

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Découverte du square Joseph-Gomes de Pazy – Souvenir.

Découverte de l’intérieur de l’église du village de Pazy – Église Saint-Prix.

Découverte du monument aux Morts de Pazy.

Découverte de l’église de Pazy – Église de Saint-Prix.

  • Croix du hameau de Prélichy
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