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Source de Mougny un patrimoine naturel

Source de Mougny – Patrimoine vernaculaire du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

Cette source de Mougny est située à l’ouest du hameau sur une propriété privée, la source est protégée par une niche faite de pierre, sa toiture en forme de dôme est réalisée en briquette rouge. Des vestiges d’une construction son située à ses côtés, un lavoir ? un peut plus loin nous pouvons observer un Crôt qui est représenté sur les cartes IGN.

Un Crôt dans notre région désigne fréquemment de petites pièces d’eau de forme allongée. Une rétention d’eau, alimentée par une petite source, par des eaux de pluie. Un mot typiquement morvandiau qui désigne une mare, car dans le Nivernais, dans le Morvan, la mare se nomme aussi Crôt, un terme qui s’applique à une fosse, une cuvette et qui désigne aussi un abreuvoir dans la Nièvre, un mot que l’on retrouve dans notre précieux dictionnaire régional, la mare peut aussi s’appeler marchais.

Les Fontaines sont nombreuses dans le Nivernais

Autrefois, bien avant que l’eau n’arrive au robinet de nos foyers, les fontaines publiques étaient avec les puits et les cours d’eau les seuls lieux d’alimentation en eau potable.

Les fontaines et les puits sont souvent situés au centre d’une place et constituaient un lieu majeur de la sociabilité villageoise. Elles sont devenues lieu d’échanges, de discussions, parfois de conflits, vers lequel convergeaient principalement les ménagères et les enfants, et cela au moins deux fois par jour, matin et soir.

Les fontaines ont été un des facteurs d’hygiène, en limitant le risque de choléra ou de maladies véhiculées par les puits risquant d’être contaminés par les excréments et eaux usées.

Toutes les couches sociales se retrouvaient à la fontaine pour prendre de l’eau, laver le linge, la vaisselle, les enfants aimaient se retrouver près de ces édifices.

Les fontaines publiques étaient l’un des symboles d’urbanisme et de civilisation, d’hygiène, de grandeur de la cité. Elles requéraient de nombreux et couteux investissements, en travail, en argent, en entretien, un bien payé par tous pour tous.

Les volontés publiques ont amené les autorités locales à développer une politique de création de fontaines, d’abreuvoirs, de lavoirs, pour un meilleur confort et l’hygiène.

Ce fut notamment le cas en Bourgogne–Franche-Comté dès les XVIIIe – XIXe siècles. Il faudra attendre l’arrivée de l’eau courante dans les maisons et les fermes pour voir la fin de la corvée d’eau journalière et l’allégement d’un fardeau multiséculaire.

De nos jours, les fontaines ont perdu leur usage domestique, elles n’en restent pas moins des éléments appréciés du patrimoine communal.

Il nous en reste un très intéressant patrimoine, capable de surprendre touristes et promeneurs qui les découvrent.

Définition de fontaine : Eau vive qui vient d’une source et se répand à la surface du sol, du lieu d’où surgit cette eau. Bassin, bords, source d’une fontaine. fontaine jaillissante, intermittente, pétrifiante; aller, puiser (de l’eau) à la fontaine. Les fontaines ont été un des facteurs d’hygiène, en limitant le risque de choléra ou de maladies véhiculées par les puits risquant d’être contaminés par les excréments et eaux usées. Certaines fontaines jouaient aussi le rôle d’abreuvoir.

En Europe, le fontainier ou fontainier parfois désigné par la population était chargé de l’entretien, des réparations ou de dégeler la fontaine en hiver.

L’eau qui coule, évoquée par la chanson « À la claire fontaine… », le bruit du jet d’une fontaine avait la réputation d’apaiser celui qui l’entendait. « Il fait grand bien aux fiévreux de voir des peintures représentant des fontaines, des rivières, des cascades. Si quelqu’un, la nuit, ne peut trouver le sommeil, qu’il se mette à contempler des sources et le sommeil viendra » a écrit l’architecte Léon Battista Alberti dans De re aedificatoria. C’est un élément encore utilisé comme tel dans certains parcs et jardins et en ville.

Une fontaine est d’abord le lieu d’une source, d’une « eau vive qui sort de terre ». C’est le cas de la mythique fontaine de jouvence. La fontaine est aussi la construction faite pour recueillir l’eau jaillissant d’une source ou amenée – sous pression ou par gravité – par un conduit. « Fontaine, se dit aussi de tout le corps d’architecture qui sert pour l’écoulement, pour l’ornement, pour le jeu des eaux d’une fontaine. » La fontaine a aussi désigné le « vaisseau de cuivre ou de quelque autre métal, où l’on garde de l’eau dans les maisons », et encore le robinet de cuivre par où coule l’eau d’une fontaine.

Bonne découverte de la source de Mougny GPS 47.13229, 3.63049

Mougny est un hameau Français de la commune de Bazolles du département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté.

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Bonne découverte de la croix du hameau de Mougny.

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Croix de Mougny un patrimoine vernaculaire

Croix de Mougny – Croix de la commune de Bazolles -Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

La croix de Mougny est située dans le centre du hameau, une belle croix en fonte moulée qui est fixée sur une imposante stèle cubique, qui est elle-même posée sur une pyramide de trois marches en pierre.

Les croix constituent une part importante du petit patrimoine de la Nièvre.

Les termes croix viennent du mot latin crux qui a le sens de « poteau ». Son usage en tant que symbole religieux remonte plusieurs siècles avant l’époque du Christ et a une valeur universelle. Le mot « calvaire » vient du latin « calvarium״, traduction de l’araméen “Golgotha”, voulant dire lieu où le Christ a été crucifié.

Depuis le IVe siècle, la croix est imposée comme symbole du Christianisme. L’usage d’ériger des croix aux bords des chemins et aux carrefours des villes et villages est très ancien. C’est ainsi que nos ancêtres devenus chrétiens commencent à les ériger, en l’honneur du vrai Dieu Jésus Christ, Sauveur du Monde.

Les croix et les calvaires ont pris la place des “ex voto” païens. Avec le soutien des fidèles riches, les paroisses se lancent dans l’édification de calvaires. Ce sont des signes extérieurs de richesse à la gloire de Dieu. Un phénomène de concurrence et d’émulation entre bourgs et villages intervient.

Certains de ces monuments, construits au XIXe siècle, sont des souvenirs des missions, périodes marquées par des confessions massives, par de nombreux offices au cours desquels, interviennent les prédicateurs qui exhortaient les habitants du village à une plus grande foi.

Difficile de retracer l’histoire des calvaires, beaucoup d’entre eux sont des monuments commémoratifs. Ils sont à l’endroit où s’est produit un événement exceptionnel, un événement dont l’issue fut funeste ou heureuse.

 Les grandes épidémies comme la peste ont donné lieu à l’érection de croix pour remercier le ciel d’avoir épargné un village, une famille.

La Crucifixion est très fréquemment représentée dans les églises catholiques et orthodoxes par un ou plusieurs crucifix de tailles diverses. Il en est de même des calvaires, des maisons habitées par un croyant, des cimetières, etc. Dans les églises orthodoxes, la croix est à 6 ou 8 branches contre 4 à 6 chez les catholiques.

Un crucifix a pour l’essentiel la forme d’une croix latine, dont la barre verticale est allongée vers le bas et courte vers le haut, et pouvant porter dans cette partie supérieure le sigle INRI, acronyme de Jésus de Nazareth, Roi des Juifs.

Une statuette ou image de Jésus est fixée à la croix, montrant les clous dans ses mains et ses pieds et une blessure dans son côté gauche, en référence aux récits de la Passion. Un calvaire se définit par une croix complexe avec des statues de personnages nombreux.

Rien à voir avec les milliers de crucifix qui jalonnent nos routes à la croisée des chemins qui ne sont pas du tout des calvaires, mais simplement des croix avec ou sans le Christ et des croix de mission.

Une « croix d’évangélisation » qui perpétue la tradition judéo-chrétienne. L’annonce orale des douze Apôtres vers les quatre points cardinaux y est symbolisée par trois perles sur chaque bras de la croix ; la perle centrale représentant le Verbe en Marie dans l’Église-mère de Jérusalem avec les quatre petites perles des quatre textes de référence évangélique. À minima le calvaire est une croix avec Jésus crucifié.

Mot d’origine latine qui signifie : “crâne” correspondant à l’araméen “Golgotha”. C’est le nom de la colline située à l’extérieur de la ville de Jérusalem où l’on exécutait les condamnés à mort et sur laquelle le Christ fut crucifié.

Bonne découverte de la croix de Mougny GPS 47.13265, 3.63072

Mougny est un hameau Français de la commune de Bazolles du département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté.

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Découverte de l’écluse de Champvert du canal du Nivernais.

Découverte d’une cheminée d’aération du canal du Nivernais.

Découverte d’un pont de Pont de la rigole d’Aron du canal du Nivernais.

Découverte du pont des Trois Gueules du canal du Nivernais.

Découverte du Le Potier de l’écluse canal du Nivernais.

Découverte de l’Aqueduc de Marigny canal du Nivernais.

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Pont sur le Canal à Mougny un ouvrage

Pont sur le Canal à Mougny un ouvrage – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

Le pont sur le Canal à Mougny permet de franchir le Canal du Nivernais entre Senlis et Mougny il à été mis en place principalement pour l’exploitation agricole. Prévus pour être principalement construits en pierre sous l’Ancien Régime, la majorité des ponts du canal du Nivernais sont construits en bois dans les années 1830. Dès 1840, des travaux sont effectués pour remplacer les tabliers en charpente des ponts du canal par des voûtes en pierre.

Le canal du Nivernais est un canal entre le bassin de la Loire et celui de l’Yonne, entre Saint-Léger-des-Vignes, dans le département de la Nièvre, et Auxerre, du département de l’Yonne. Il s’étire sur une distance de 174 km, il possède pas moins de 116 écluses dont la fameuse échelle de Sardy après la voûte de la Collancelle et l’étang de Baye.

L’ensemble de ces ouvrages est un lieu agréable à parcourir en vélo, un circuit aménagé permet aux cyclistes de tous âges de profiter de belles balades où on peut admirer des œuvres d’art intégrées au paysage.

Le canal du Nivernais est un canal, traversant le département de la Nièvre, assurant une bonne navigation même quand les rivières, plus ou moins sauvages comme l’Aron ne sont pas navigable, à cause de manque d’eau ou de trop grand courant.

Le canal est aujourd’hui réservé à la navigation de plaisance, beaucoup de plaisanciers le considèrent comme étant l’un des plus beaux canaux d’Europe, dont l’attrait est renforcé par la présence de remarquables ouvrages d’art d’époque (voûtes, tunnels, écluses, pont-levis).

Découvrez le territoire du flottage et les techniques ingénieuses qui étaient utilisées à l’époque pour acheminer le bois de chauffage du Morvan à la Capitale. La verdure du Canal du Nivernais dissimule des merveilles : une promenade en bateau vous permettra de les découvrir.  Un joli petit coin ou canaux et rivières se croisent. D’une longueur de 174 km, de Saint-Léger-des-Vignes, au sud de la Nièvre, à Auxerre, le canal du Nivernais se compose de 116 écluses : 35 situées sur le versant Loire et 81 sur le versant Seine.

Le canal comporte deux pont-aqueduc, le premier enjambe l’Aron en amont de l’écluse de Mingot et l’autre situé à en amont de l’écluse de Roche entre Cercy-la-Tour et Decize enjambe l’Andarge.

Bonne découverte du Pont sur le Canal à Mougny GPS 47.12783, 3.62452

Mougny est un hameau Français de la commune de Bazolles du département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté.

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Découverte de l’écluse de Champvert du canal du Nivernais.

Découverte d’une cheminée d’aération du canal du Nivernais.

Découverte d’un pont de Pont de la rigole d’Aron du canal du Nivernais.

Découverte du pont des Trois Gueules du canal du Nivernais.

Découverte du Le Potier de l’écluse canal du Nivernais.

Découverte de l’Aqueduc de Marigny canal du Nivernais.

  • Le Canal à Mougny
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  • Pont sur le Canal à Mougny
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Calvaires et croix Croix Nièvre Pierre des morts ,

Croix de « Le Coudray » un patrimoine du Nivernais

Croix de « Le Coudray » – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

Ce vestige de la Croix de « Le Coudray » est situé le long de la rue qui part de Mougny en direction de la départementale 256, seul le socle de cette croix monumentale est encore bien visible, il s’agissait d’une croix monumentale en pierre de taille fixée sur un imposant socle pyramidal en pierre, qui, lui-même repose sur une pyramide de trois grandes marches. Nous pouvons encore apercevoir devant cet édifice une grande pierre plate certainement une pierre des morts. Nous espérons que la municipalité puisse réparer ce monument.

Les croix constituent une part importante du petit patrimoine de la Nièvre.

Les termes croix viennent du mot latin crux qui a le sens de « poteau ». Son usage en tant que symbole religieux remonte plusieurs siècles avant l’époque du Christ et a une valeur universelle. Le mot « calvaire » vient du latin « calvarium״, traduction de l’araméen “Golgotha”, voulant dire lieu où le Christ a été crucifié.

Depuis le IVe siècle, la croix est imposée comme symbole du Christianisme. L’usage d’ériger des croix aux bords des chemins et aux carrefours des villes et villages est très ancien. C’est ainsi que nos ancêtres devenus chrétiens commencent à les ériger, en l’honneur du vrai Dieu Jésus Christ, Sauveur du Monde.

Les croix et les calvaires ont pris la place des “ex voto” païens. Avec le soutien des fidèles riches, les paroisses se lancent dans l’édification de calvaires. Ce sont des signes extérieurs de richesse à la gloire de Dieu. Un phénomène de concurrence et d’émulation entre bourgs et villages intervient.

Certains de ces monuments, construits au XIXe siècle, sont des souvenirs des missions, périodes marquées par des confessions massives, par de nombreux offices au cours desquels, interviennent les prédicateurs qui exhortaient les habitants du village à une plus grande foi.

Difficile de retracer l’histoire des calvaires, beaucoup d’entre eux sont des monuments commémoratifs. Ils sont à l’endroit où s’est produit un événement exceptionnel, un événement dont l’issue fut funeste ou heureuse.

 Les grandes épidémies comme la peste ont donné lieu à l’érection de croix pour remercier le ciel d’avoir épargné un village, une famille.

La Crucifixion est très fréquemment représentée dans les églises catholiques et orthodoxes par un ou plusieurs crucifix de tailles diverses. Il en est de même des calvaires, des maisons habitées par un croyant, des cimetières, etc. Dans les églises orthodoxes, la croix est à 6 ou 8 branches contre 4 à 6 chez les catholiques.

Un crucifix a pour l’essentiel la forme d’une croix latine, dont la barre verticale est allongée vers le bas et courte vers le haut, et pouvant porter dans cette partie supérieure le sigle INRI, acronyme de Jésus de Nazareth, Roi des Juifs.

Une statuette ou image de Jésus est fixée à la croix, montrant les clous dans ses mains et ses pieds et une blessure dans son côté gauche, en référence aux récits de la Passion. Un calvaire se définit par une croix complexe avec des statues de personnages nombreux.

Rien à voir avec les milliers de crucifix qui jalonnent nos routes à la croisée des chemins qui ne sont pas du tout des calvaires, mais simplement des croix avec ou sans le Christ et des croix de mission.

Une « croix d’évangélisation » qui perpétue la tradition judéo-chrétienne. L’annonce orale des douze Apôtres vers les quatre points cardinaux y est symbolisée par trois perles sur chaque bras de la croix ; la perle centrale représentant le Verbe en Marie dans l’Église-mère de Jérusalem avec les quatre petites perles des quatre textes de référence évangélique. À minima le calvaire est une croix avec Jésus crucifié.

Mot d’origine latine qui signifie : “crâne” correspondant à l’araméen “Golgotha”. C’est le nom de la colline située à l’extérieur de la ville de Jérusalem où l’on exécutait les condamnés à mort et sur laquelle le Christ fut crucifié.

Bonne découverte de la Croix de « Le Coudray » GPS 47.13335, 3.64402

Bazolles est une commune française, située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Découverte des écluses 4.5.6 de Chavance – Canal du Nivernais.

Découverte du lavoir de Fussilly – Patrimoine vernaculaire du Nivernais.

  • Croix de "Le Coudray"
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Calvaires et croix Croix Nièvre , ,

Croix de Meuré le Grand un patrimoine

Croix de Meuré le Grand – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

Cette Croix de Meuré le Grand est située au carrefour de la départementale 256 et de la route du bourg en direction de Meuré le Petit. Une simple croix de bois monumental avec sur la branche principale une niche contenant une statuette de la Vierge.

Les croix constituent une part importante du petit patrimoine de la Nièvre.

Les termes croix viennent du mot latin crux qui a le sens de « poteau ». Son usage en tant que symbole religieux remonte plusieurs siècles avant l’époque du Christ et a une valeur universelle. Le mot « calvaire » vient du latin « calvarium״, traduction de l’araméen “Golgotha”, voulant dire lieu où le Christ a été crucifié.

Depuis le IVe siècle, la croix est imposée comme symbole du Christianisme. L’usage d’ériger des croix aux bords des chemins et aux carrefours des villes et villages est très ancien. C’est ainsi que nos ancêtres devenus chrétiens commencent à les ériger, en l’honneur du vrai Dieu Jésus Christ, Sauveur du Monde.

Les croix et les calvaires ont pris la place des “ex voto” païens. Avec le soutien des fidèles riches, les paroisses se lancent dans l’édification de calvaires. Ce sont des signes extérieurs de richesse à la gloire de Dieu. Un phénomène de concurrence et d’émulation entre bourgs et villages intervient.

Certains de ces monuments, construits au XIXe siècle, sont des souvenirs des missions, périodes marquées par des confessions massives, par de nombreux offices au cours desquels, interviennent les prédicateurs qui exhortaient les habitants du village à une plus grande foi.

Difficile de retracer l’histoire des calvaires, beaucoup d’entre eux sont des monuments commémoratifs. Ils sont à l’endroit où s’est produit un événement exceptionnel, un événement dont l’issue fut funeste ou heureuse.

 Les grandes épidémies comme la peste ont donné lieu à l’érection de croix pour remercier le ciel d’avoir épargné un village, une famille.

La Crucifixion est très fréquemment représentée dans les églises catholiques et orthodoxes par un ou plusieurs crucifix de tailles diverses. Il en est de même des calvaires, des maisons habitées par un croyant, des cimetières, etc. Dans les églises orthodoxes, la croix est à 6 ou 8 branches contre 4 à 6 chez les catholiques.

Un crucifix a pour l’essentiel la forme d’une croix latine, dont la barre verticale est allongée vers le bas et courte vers le haut, et pouvant porter dans cette partie supérieure le sigle INRI, acronyme de Jésus de Nazareth, Roi des Juifs.

Une statuette ou image de Jésus est fixée à la croix, montrant les clous dans ses mains et ses pieds et une blessure dans son côté gauche, en référence aux récits de la Passion. Un calvaire se définit par une croix complexe avec des statues de personnages nombreux.

Rien à voir avec les milliers de crucifix qui jalonnent nos routes à la croisée des chemins qui ne sont pas du tout des calvaires, mais simplement des croix avec ou sans le Christ et des croix de mission.

Une « croix d’évangélisation » qui perpétue la tradition judéo-chrétienne. L’annonce orale des douze Apôtres vers les quatre points cardinaux y est symbolisée par trois perles sur chaque bras de la croix ; la perle centrale représentant le Verbe en Marie dans l’Église-mère de Jérusalem avec les quatre petites perles des quatre textes de référence évangélique. À minima le calvaire est une croix avec Jésus crucifié.

Mot d’origine latine qui signifie : “crâne” correspondant à l’araméen “Golgotha”. C’est le nom de la colline située à l’extérieur de la ville de Jérusalem où l’on exécutait les condamnés à mort et sur laquelle le Christ fut crucifié.

Bonne découverte de La Croix de Meuré le Grand GPS 47.14705, 3.63756

Le village de Bazolles est situé dans le département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté.

Bonne découverte de la croix de Meuré le Grand GPS 47.14705, 3.63756

Un clic pour situer les monuments nivernais sur une carte.

Découverte de l’église de Bazolles – Église Saint Symphorien.

Découverte de la rigole d’Aron une cheminée d’aération.

  • Croix de Meuré le Grand
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Châteaux Demeure Maison de Maître Manoirs Nièvre

Manoir Le Coudray un beau patrimoine

Manoir le Coudray – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

Le manoir le Coudray ou maison de maître est placé sur un grand domaine. Construit de plan rectangulaire, sur des caves il possède des combles aménagés, cette grande bâtisse de plan rectangulaire est entourée de nombreux communs placés sur un domaine. Une habitation non fortifiée d’un ex-propriétaire de fief.

Au Moyen-Âge, un château était un lieu d’habitation destiné à accueillir un seigneur ou un roi, tandis que le manoir était plus destiné à une personnalité noble. Mais au-delà des origines, les aspects architecturaux et pratiques le diffère, un château comporte généralement des murailles, des fortifications, des douves, un donjon et est capable de se défendre (et de défendre une population grâce à sa basse-cour) lors d’une attaque ennemie. Le château est une construction militaire qui peu à peu devient un lieu de résidence. Le manoir est plus petit que le château, il est situé dans un village et y représente la demeure la plus importante.

Les propriétaires des manoirs sont des propriétaires terriens qui ont pu grâce à leurs revenus, s’offrir la construction de cet édifice en belles pierres. Il existerait environ 6 500 châteaux ou manoirs classés en France dont 85% seraient possédés par des particuliers, les autres sont détenus par l’État Français.

Plus loin sur un petit interfluve, à 3000 m à l’ouest d’ Achun, et 400 m au sud-ouest du hameau du Coudray. Sur les clichés verticaux de l’IGN, nous pouvons observer une plate-forme ronde de 40 m de diamètre, entourée de fossés sombres larges de 10 m, le tout dans une enceinte quadrangulaire.

Bonne découverte du manoir Le Coudray GPS 47.13355, 3.64427

Bazolles est une commune française, située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté

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Découverte des écluses 4.5.6 de Chavance – Canal du Nivernais.

Découverte du lavoir de Fussilly – Patrimoine vernaculaire du Nivernais.

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