Églises Nièvre

Église de Lys un beau patrimoine

Église de Lys – Église Saint Martin – Patrimoine religieux du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

L’Église de Lys est paroissiale, elle est placée sous le vocable de Saint Martin,L’ Église de Lys est datée des XVe – XVIe siècles. Elle est édifiée à l’emplacement d’une ancienne église datée de 1121. Elle est principalement éclairée par des vitraux polychromes datés du XIXe siècle, cependant des restes de vitraux datés du XVIe siècle sont à observer.

église de Lys

Sur le portail se trouve les armes de la famille d’Aunay, seigneur de Lys en 1557.

L’Église de Lys est Inscrite aux Monuments Historiques le 22 février 1927.

L’église est en forme de plan en croix (voir vue aérienne, le placement des chapelles), avec la saillie du clocher. Le clocher est carré, il est percé de de baies, gothiques  sur ses quatre faces, sa flèche est couverte d’ardoises, il est collé contre la chapelle de droite.

Une tourelle d’escalier est flanquée contre le clocher.

Cette église comprend un porche, une nef à quatre travées, les deux dernières sont flanquées de chapelles latérales, et un choeur polygonal. Le porche possède une porte à moulures et d’arcades gothiques.

L’église est percée de belles fenêtres de style gothiques. Elle est épaulée par de nombreux contreforts, ceux du chevet sont plus saillants et amortis en pignon. Son abside est à pans coupés.

Lys est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

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Découverte du château de Lys – Maison forte de Lys.

Découverte de la chapelle de Feuilloux.

Bonne découverte de Église de Lys – Église Saint Martin GPS 47.34749, 3.59928

Châteaux Nièvre ,

Château de Pignol un beau patrimoine

Le Château de Pignol – Manoir de Pignol – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne Franche-Comté.

Le Château de Pignol son site est placé sur le bord d’un plateau. Il s’agit d’une plate-forme rectangulaire de 105 m de long et 70 m de large.

Cette plate-forme était entourée de fossés qui ne sont plus aujourd’hui visibles que sur la partie est.

Au XVIIe siècle, un nouveau château fut construit. A l’intérieur de cette grande plate-forme, au centre et à l’est, il y a une autre plate-forme de dimension plus petite.

Elle mesure environ 25 m de large et 30 m de long. Cette plate-forme est entourée de fossés large de 5 m d’une profondeur de 1 m à 1,50 m.

Sur le plan de l’ancien cadastre on distinguait autour de la grande plate-forme quatre tours aux angles, et une, accolée au bâtiment qui se trouve à l’entrée.

Cette dernière ainsi que la tour qui se trouve à l’angle nord-est subsistent toujours.

Le château de Pignol possède une belle porte charretière, qui permet d’accéder au beau château. Les archives familiales ont malheureusement disparue, il ne reste aucune trace de l’ancien fief de Pignol avant 1618, la date de son rachat par Claude de Bèze, seigneur de Lys.

Sur la gauche de la porte d’entrée une tour imposante, une ancienne tour, semble être là pour protéger le domaine.

Cette image a un attribut alt vide ; le nom du fichier est domaine-du-chateau-de-Pignol.jpg

En 1627, il acquiert le fief voisin de Talon, il fit rebâtir le château.

Le château de Pignol restera Toujours dans la même famille. L’actuel propriétaire est de la descendante directe. De l’ancienne place forte, il ne subsiste plus que le portail, une grosse tour ronde, le colombier, et des ruines des anciens remparts.

Les vestiges de l’enceinte du XVIe siècle sont représentés sur un plan du XVIIIe siècle, ce plan montre que les bâtiments actuels n’ont pas subi de modification importantes depuis le XVIIIe siècle.

En 1618 les terres de Pignol appartiennent aux seigneurs d’Aulnay ou de Daullenoy.

Le château est à l’écart du hameau, il est desservi par une belle allée, qui est bordée d’arbres depuis le XVIIIe siècle.

Le château est surélevé il domine la vallée de l’Yonne et du Beuvron. Une belle propriété privée visible de la route.

Bibliographie: SOULTRAIT (Georges Richard, comte de). — Dictionnaire topographique du département de la Nièvre, 1865

Pignol est un hameau de la commune de Tannay du département de la Nièvre en région Bourgogne Franche-Comté.

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Découverte d’une des fontaines de la ville de Tannay.

Découverte de la maison des Chanoines de la ville de Tannay.

Bonne découverte du Le Château de Pignol GPS 47.35001, 3.58195, pour en découvrir plus sur le château- Manoir de Pignol.

  • Château de Pignol
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Girouettes Nièvre ,

Belles girouettes de Bourras la Grange un beau patrimoine

Les Belles girouettes de Bourras la Grange – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté.

Belles girouettes de Bourras la Grange sont située sur la toiture d’un bâtiment aménagé en habitation principale, il était, en 1785, la propriété des « De la Ferté Meung » alliés aux de Boisjardin. Une propriété privée.

Nous pouvons découvrir deux très belles girouettes placées a chaque extrémité de la toiture d’une grande bâtisse. L’écu rappel le bouclier.

L’une d’elles représente d’après l’armorial du Nivernais du comte de Soultrait: « d’azur, à la fasce, accompagnée en chef de deux fleurs de lys, et en pointe d’un pal cometé, le tout d’or « .

La deuxième représente un blason lui aussi avec flamme, tiercé en fasce, deux étoiles dans sa partie supérieure, au centre il est coupé horizontalement, en bas au centre une autre étoile.

L’abbaye de Bourras est crée le 8 septembre 1119 à Saint Malo en Donziois sous l’impulsion d’Hugues de Thil, seigneur de Champlemy, et sa femme Alix de Montenoison. C’est une ancienne abbaye cistercienne située dans la Nièvre, à Saint-Malo-en-Donziois.

Les girouettes du Nivernais.

Une girouette c’est un dispositif généralement métallique, principalement en hauteur et plus souvent placé sur un toit. La girouette est constituée d’un élément rotatif monté sur un axe vertical fixe.

Le terme français est issu d’un dialecte de la Loire guiroie, par déformation populaire à partir du verbe girer « tourner » deviens au fil du temps girouette tirer du vocabulaire marin girer les proues réinterprétées en -ouette. Les « ornements de toiture ».

Au IXe siècle, le pape Nicolas Ier décide de rappeler aux chrétiens la phrase de Jésus à Pierre : « Avant que le coq chante, tu m’auras renié trois fois » en installant un coq au sommet des clochers des cathédrales, des églises, souvent couronnés d’une belle girouette.

Pendant le Moyen Âge, il n’était pas permis à tout le monde de placer des girouettes sur les toitures des habitations. Le château, seul avec l’église, pouvait posséder des girouettes.

La girouette seuls les seigneurs pouvaient autrefois placer sur leur logis une girouette. Il existait un « droit de girouette » et la coutume stipule qu’elles sont « en pointe comme les pennons, pour les simples chevaliers, et carrées comme les bannières, pour les chevaliers d’un rang supérieur ».

La Révolution Française de 1791 proclamant l’abolition des privilèges de l’Ancien Régime entraîna la fin de cette prérogative des nobles d’arborer des girouettes. « Le droit seigneurial et exclusif d’avoir des girouettes sur les maisons est aboli et il est libre à chacun d’en placer à son gré et dans telle forme qu’il jugera à propos ».

Le droit de girouette, libéré des privilèges nobiliaires, se répandit chez les bourgeois, les artisans et les formes de ces objets du vent se diversifieront de même que les thèmes traités : chimères, gueules béantes, animaux mythiques et fantastiques firent leur apparition sur les toits. Devenue ornementales, les girouettes deviennent de véritables œuvres d’art qui rappellent le statut du propriétaire du lieu, et par la même le métier, la passion etc…

Dès lors elles permettent aux voyageurs de découvrir les girouettes-enseignes : « du forgeron, du laboureur avec son attelage, de l’éleveur, du relais avec son cheval cabré ou la calèche, du meunier avec son moulin, du vigneron, du tonnelier de la taverne…

Un « quidam » va dénoncer, par le biais d’un acte de notoriété déposé auprès du juge ordinaire royal de la vicomté de Murat, « les particuliers de ceste ville et vicomté de Murat, possédans de maizon en rotture, ont au faiste de leurs maizons des giroettes ». Daté du 13 novembre 1680.

Dans le dictionnaire raisonné de l’architecture française (1854 à 1868) de Viollet-le-Duc, l’objet nommé girouette est décrit comme « plaque de fer-blanc qui est mobile sur une queue ou pivot, qu’on met sur les clochers, les pavillons, les tours et autres édifices, pour connaître de quel côté le vent souffle ».

Dès le XIXe siècle la pose de la girouette indique que la toiture de la maison est achevée, elle permettait aussi d’indiquer au passant les maisons des notables : « forgerons, artisans, notaires, médecins, musiciens, etc. ».

Bonne découverte des Belles girouettes de Bourras la Grange GPS 47.31319, 3.32939

Champlemy est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté

Bonne découverte du Puits de Bourras la Grange GPS 47.31365, 3.33159

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Découverte de église de Champlemy – Église Saint-Maurice.

  • Belles girouettes de Bourras la Grange
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Nièvre ,

Audouin Dollfuss astronaute sur Prémery un beau souvenir

Audouin Dollfuss astronaute sur Prémery – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté.

Audouin Dollfuss atterrit en pleine nuit à Prémery au milieu d’un troupeau de vaches le 24 avril 1959 à 1h20. Il est alors âgé de 25 ans. Il vole pendant trois heures à 13 000 mètres d’altitude. Après avoir décollé dans une nacelle, (une sphère de métal doublée de polystyrène, une capsule pressurisée) a l’aide d’une impressionnante grappe de 104 ballons.

Il lui fallut trois ans pour préparer son voyage, il décolle le mercredi soir à 20h10 de l’aéroport de Villacoublay.

Monsieur Dollfus précise qu’il n’a pas dépassé les 13 000 mètres. Il a, au moment du décollage volontairement enlevé trois ballons redoutant un décollage trop brutal, de plus, lors de l’envol, deux autres ballons éclatent.

15 minutes après son décollage il atteint 3000 mètres. en 30 minutes il est à 6000 mètres, à 12500 mètres il enregistre une température de moins 58 degrés.

Audouin Charles Dollfus est né le 12 novembre 1924 à Paris, il est décédé le 1er octobre 2010 à Versailles. C’est un physicien, astronome et aéronaute français, spécialiste du système solaire et découvreur, en 1966, de Janus, une petite lune de Saturne.

Audouin Dollfus un pionnier de l’exploration spatiale, il effectua de nombreux vols en ballon équipé de télescope, le plus spectaculaire étant celui qui, en avril 1959, lui permit de s’élever à 13 000 mètres d’altitude à bord d’une capsule étanche accrochée à une « grappe » d’une centaine de ballons et d’effectuer des observations qui lui permirent de déduire la présence d’eau sur Mars.

Bonne découverte d’ Audouin Dollfuss astronaute sur Prémery un beau souvenir

Journal du centre du 24 avril 1958.

Prémery est une commune française située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté.

Découverte de la maison d’Alix Marquet sculpteur à Prémery.

Découverte de Maurice Mignon de Prémery département de la Nièvre.

Découverte de la forêt domaniale de Prémery le circuit découverte.

Découverte des Blasons du Deffend du château de Prémery.

Découverte de la pompe à bras rue de la gare de Prémery.

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Lavoirs Morvan Nièvre ,

Lavoir du Domaine du Verne un beau patrimoine

Lavoir du Domaine du Verne – Patrimoine du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

Le Lavoir du Domaine du Verne est situé au carrefour de la départementale 27 du chemin du domaine du Verne et d’un chemin du GR13. L’originalité de ce lavoir est la source protégée par un ouvrage cylindrique en moellon, le lavoir est un préfabriqué en béton.

La fontaine guérisseuse de Saint-Gengoux, à Larochemillay, rendait la vue aux aveugles et faisait marcher les personnes paralysées.

Les lavoirs constituent une part importante du petit patrimoine bâti de la Nièvre.

Le Parlement vote une loi le 3 février 1851 qui accorde un crédit spécial, pour subventionner à hauteur de 30 %, la construction des lavoirs couverts et, prévoit que « c’est au lavoir commun que la laveuse trouvera une distribution commode d’eau chaude et d’eau froide, des appareils de séchage qui lui permettent une économie de temps, et qui lui évitent d’effectuer le blanchissage dans l’habitation ».

Le rôle social du lavoir était primordial. C’est là que les femmes se retrouvaient, chacune ayant une place précise, sous l’autorité de la doyenne. On riait, on papotait.

Les femmes qui ne pouvaient pas faire garder leurs enfants en bas âge venaient avec eux au lavoir.

Il était autrefois un lieu de rencontre animé où se retrouvaient régulièrement les habitantes.

Les conditions de travail y étaient fort pénibles, les intempéries, les mains des femmes, plongées dans l’eau fraîche et parfois, glacée l’hiver, en ressortaient souvent meurtries, gercées et crevassées. Elles faisaient une grande consommation de pommade pour pouvoir continuer leur dur labeur. Le lavoir était réputé autrefois, pour être un lieu de médisance, mais il permettait de rompre l’isolement des femmes, la solidarité des dames était bien présente, ne serait-ce que pour tordre le linge à deux en sens inverse.

Le lavoir représente tout un pan de notre mémoire populaire. C’est à ce titre qu’il doit être respecté,

Il fallait souvent faire plusieurs voyages dans la journée, parfois sur plusieurs kilomètres pour aller au lavoir du pays, pour pouvoir porter les corbeilles de linge sale, le coffre, le battoir, parfois la planche à laver, et naturellement le savon et la brosse. La brouette (la beurouette en patois morvandiau) qui n’était pas d’une grande capacité.

– Le coffre, le Cabasson, ou boîte à laver, souvent aussi le carrosse (ou parfois, caisse). Renforcé avec des chiffons ou de la paille, et calé au bord de la pierre à laver, il permettait à la lavandière de se mettre à genoux avec un minimum de confort.

– Le battoir à linge : le tapoir, en patois morvandiau le tapoué. La lavandière mettait le linge en boule et « tapait » dessus avec énergie : elles tapoueillaient!

– La planche à laver : on l’utilisait pour laver à la rivière ou à la fontaine : elle remplaçait la margelle à laver du lavoir.

– Le chevalet était fabriqué en bois, il permettait de suspendre provisoirement le linge et de le faire égoutter, lorsqu’il n’y avait pas d’étendoir au lavoir. 

– Le savon sert à décoller la crasse, à détacher le linge sale, le gros savon, conditionné en forme de gros cube. On pouvait utiliser la saponaire, appelée aussi herbe à foulon (dans certaines régions, les foulons piétinaient foulaient au pied – la laine dans des bassins), dont les racines ont particularité de faire de la mousse. On l’utilisait en décoction froide. La saponaire est une plante à fleurs violacées qui pousse au printemps au bord de l’eau.

– La brosse : la fameuse brosse à chiendent, aucune tâche ne doit lui résister.

Certains lavoirs étaient équipés de cheminées pour produire la cendre nécessaire au blanchiment du linge.

Généralement le lavoir est un espace public, un lieu de vie réservé aux femmes comme le café du village l’est aux hommes. C’est au XVIIIe siècle que l’on construit la première génération de lavoirs dont l’architecture va s’améliorer avec la loi de 1851 sur l’hygiène. Il est souvent couvert et fermé pour protéger les lavandières des intempéries. Situé naturellement à proximité d’une source en eau, il est généralement composé de plusieurs bassins, la fontaine, puis le rinçoir (où on dégage le linge des restes de saleté et de savon), le lavoir, a bien souvent un abreuvoir en aval destiné aux animaux. Le lavoir est souvent couvert de petites tuiles plates en terre cuite, son bassin est rectangulaire, ses margelles sont en pierre de taille.

Bonne découverte du Lavoir du Domaine du Verne GPS 46.88258, 3.99782

Larochemillay est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Découverte de la maison du régisseur de Larochemillay

Découverte du monument aux morts de Larochemillay

Découverte du château fort de Larochemillay

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Belles images Calvaires et croix Mémoire Morvan Nièvre Oratoire Statuette Stéle ,

La vierge d’ Onlay un site remarquable

La vierge d’ Onlay – Patrimoine vernaculaire du Nivernais en Bourgogne-Franche-Comté

La vierge d’ Onlay est situé sur les hauteur de la commune, la statue représente la vierge avec des cheveux longs bouclés, coiffée d’une couronne de lys et portant contre sa poitrine l’enfant Jésus qui regarde la vallée.

Cette statue est un moulage de fonte reposant sur un stèle de pierre cubique, le tout repose sur un monticule de pierre et de ciment. Sur ce lieu une table d’orientation et un banc permette d’observer le paysage.

Le village d’Onlay est bâti sur la rive droite de la Oragne, le long de l’ancienne voie romaine de Saint Honoré-les-Bains à Château-Chinon.

Onlay jouissait du titre de paroisse en 1030. Le patronage de la cure appartenait au chapitre de Nevers, qui le conserva jusqu’en 1789

Bonne découverte de la Vierge d’ Onlay GPS 46.96934, 3.89612

Repère géodésique « ONLAY I », La Vierge, Nièvre, France

Marie, mère de Jésus née le Ier siècle av. J.-C à Jérusalem selon la tradition orientale, à Bethléem, Nazareth ou Sepphoris selon les traditions occidentales. Décédée au Mont Sion à l’abbaye de la Dormition, ou Éphèse l’Église de la Vierge Marie. Elle est vénérée par les églises catholique et Orthodoxe.

Mère de Dieu (1er janvier), Annonciation 25 mars, Visitation (30 mars pour les Églises orthodoxes, 31 mai pour l’Église catholique), Mère de l’Église (Lundi de Pentecôte), Dormition et Assomption (15 août), Sainte Marie Reine (22 août), Nativité (8 septembre), Saint Nom de Marie (12 septembre), Présentation (21 novembre), Immaculée Conception (8 décembre).

Onlay est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

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Découverte d’un puits de la commune d’ Onlay – Patrimoine vernaculaire de Onlay.

Découverte de l’église de la commune d’ Onlay – Église de l’Assomption.

Découverte du Jardin Alexis Lemaître de Brèves.

Découverte d’un calvaire de la commune de Onlay.

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